on dirait que la mort révèle la vraie nature des gens…
et hier en est parti un vraiment vrai, un vrai de vrai… un homme de coeur, un monstre d’amour…
si on apprend la présence dans l’absence comme il le disait lui-même, son absence récente est déjà pleine… d’amour, de chaleur humaine, de respect…
j’ai l’impression que Serge Bouchard est mort de tristesse…
dans le cadre de cette entrevue, on la sent cette tristesse il me semble… perdre deux amours de 25 ans doit être une épreuve quasi insurmontable… et pourtant, il vivait avec ce fardeau… pas une fois, deux fois… ma foi., quelle épreuve… et maintenant, peut-être qu’il danse avec ses deux amoures…souhaitons-lui…
ce matin, que quelques mots d’éloge, comme tant d’autres l’ont fait hier et continueront de la faire, pour cet homme de mots, cet homme de lettres, cet homme de coeur et de rigueur… ce passeur, ce conteur…
ce blanc qui enseignait autant aux blancs qu’aux autochtones, et respectés de tous…
comme une fleur, il semble que la vie d’un homme révèle sa fragrance à sa mort…
et toi Serge, monsieur Bouchard, Mammouth bien-aimé, ta présence et tes mots continueront de se faire sentir longtemps…
à bientôt…
ce soir, lors de notre méditation en ligne, nous écouterons quelques mots sages de Serge Bouchard plutôt que nos traditionnels mots d’Osho… car nous avons ici un sage made in Québec…
Admirable texte, merci ++++!
Oui un homme vrai et très touchant dans sa profonde sensibilité.
Une grande perte.
J’imagine que la 2ième perte d’un grand amour lorsque la vie s’achève rend le coeur encore plus fragile.