cent-soixante-quatrième pop-up /// 10/6/13
AVIS : cette chronique «édition spéciale» peut prendre un peu plus de temps qu’à l’habitude à lire écouter regarder etc… prenez-en note cher lecteur/trice…
yé ! ceci est la 500 ème chronique que je poste depuis mars 2012… bravo clap clap ati le chapati… j’exagère ou je n’exagère pas, qui saurait dire… mais non lecteurs/trices, sérieux le chroniqueur, 500 chroniques en arrière des boutons de manchettes… certain(e)s parmi vous, vous en avez plus ou moins presque 500 derrière les paupières… salut…

500 comme la moitié de 1000… 500 comme ceux d’Indianapolis… 500 comme les plus grosses coupures jaune-oranges foncées du jeu de Monopoly… 500 comme deux fois et demi passez Go… 500 comme un de plus que 499 et un de moins que 501… 500 comme mimillénaire, 500 comme c’est vieux en ta ça… 500 comme la Galaxy suivie du même numéro du temps des gros chars de nos pères quand on était ticuls…
comme c’est ma 500ème chronique, me permets d’être un peu loufoque, un peu loup, ou phoque… un peu fou fuck… ah pis, fuck le fou…
me permets aussi d’exagérer, au moins de 500 %, au moins, simple base de travail… ça peut monter…
me permets de mettre plein de belles images, certaines osées… oser ? certain !
me permets d’inclure deux liens vers des audios (pas longs, ptit speech de Steve Jobs (1 minute) et ptite toune de votre chroniqueur (3 minutes quelque),
me permets aussi d’insérer une bonne joke, bref, j’y vais à 500 %… au moins… pis j’exagère là…
premièrement 500 fois merci… 500 mercis, 5 sans merci… beaucoup merci… beaucoup de mercy on you… merci de me lire, avec commentaire ou en silence, souvent tôt le matin, je vous suis quand vous me lisez… à chaque matin ou presque, je me réveille un peu avant vous et j’écris… puis à votre tour de vous réveiller alors que je mange mes toasts et bois mon café, pendant que vous me lisez.. vous êtes quelques-un(e)s à lire très tôt, mais la plupart vous le faites entre 6 h et 8 h… avec quelques retraité(e)s qui font ça plus tard en mimatin – et ils sauront se reconnaître ;-)… je vous l’avais dit que je vous voyais… et vous vouvoies et te tutoies…
500 chroniques depuis un an et quelques mois, ça fait en moyenne environ une par jour, beau temps, ou mauvais… et ces temps-ci, j’ai du mauvais temps en masse pour écrire vous me direz… ou pas… en passant, avez-vous remarqué aujourd’hui comment le temps était clair ? pur, frais… vive la pluie aussi… ça nettoie…
comme c’est ma chronique numéro 500, je me permets ici même une photo sensuelle…
photo : Tono Stano… beau hein ?
comme c’est ma 500ème, je me permets aussi cette photo fofolle, photo foufoune… un peu olé olé… outrageuse.. photo fesses à l’air… cul de sac au musée, yé…
photo: Boudewijn Kruithof’s
parlant de folie, Steve Jobs sur ce sujet
https://soundcloud.com/atidion/celebrating-steve-oct-19-2011
thanks Stevie boy… rest in peace…
j’aime écrire pour la folie que cela permet, pour toutes les latitudes que l’on peut prendre… quand on écrit, on peut dire ce que l’on veut, personne ne peut faire quoi que ce soit pour nous en empêcher… que ne pas lire… mais empêcher d’écrire ? jamais… la preuve ici… quand même une précieuse liberté, on meurt pour moins que ça…
supportons Amnistie Internationale (http://www.amnistie.ca/)
lire et écrire vont bien ensemble, et nous faisons les deux vous et moi… parce que vous lisez j’écris, parce que j’écris vous lisez… et tourne la vie, et tourne la ronde…

et parlant de fesses, quoi dire de celle-ci… petits anges cornus… pets de soeur… via Shayam… thanks, cute…

et tiens, parce que c’est mon party de 500ème (ouf ! ça sonne vieux ça), une joke via Subhan Schenker, en anglais SVP… pas traduite… à l’état pur…
A young boy enters a barber shop and the barber whispers to his customer, “This is the dumbest kid in the world. Watch while I prove it to you.”
The barber puts a dollar bill in one hand and two quarters in the other, then calls the boy over and asks, “Which do you want, son?”
The boy takes the quarters and leaves.
“What did I tell you?” said the barber. “That kid never learns!”
Later, when the customer leaves, he sees the same young boy coming out of the ice cream store.
“Hey, son! May I ask you a question? Why did you take the quarters instead of the dollar bill?”
The boy licked his cone and replied, “Because the day I take the dollar, the game is over!”

et dernier petit cadeau, un premier bout de chanson enregistré avec mes amis Nathalie, Michel et Sophie… merci gang… évidemment une first take pogné sul’flye, sur l’air d’aller, à rafiner sans cesse… comme tout le reste… on travaille déjà là-dessus…
https://soundcloud.com/atidion/masa_lima
photo : raul velasquez
The most approximate language to express God is that of music because music has no language in it; hence it cannot be misinterpreted. Because there is no language in it, it cannot be misunderstood… – Osho
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jamais 5 sans 1…
P.S. dans l’énumération des chiffres de 1 à 500 sur le post de mon mur Facebook annonçant cette chronique, j’ai omis un chiffre… lequel ?