Archives pour la catégorie les pops-ups chroniques

parti prendre une marche…

7806_264834963659726_1052318638_ncent-soixante-treizième pop-up /// 17/6/13

OK, quand un chroniqueur se demande s’il ne serait pas mieux de rester silencieux, ce que j’ai écrit ce matin dans ma chronique, le message est clair me semble… c’est que ses doigts ont besoin de vacances… alors je vous laisserai tranquille pour quelque temps…

je vais prendre la route, aller marcher le petit compostelle http://www.sentiernotredamekapatakan.org/
puis faire le satori et animer un groupe à l’auberge avant de revenir home…

donc fin des pop-ups ici, ce qui aura été la plus longue série parmi les 8 séries de chroniques que contient ce blogue… si vous êtes en manque de mots, il y en a sûrement quelques-uns sur lesquels vous n’avez pas encore porter vos yeux sur ce blogue…

donc pour le prochain mois or so, pause de chroniques, de Facebook et les courriels au strict minimum… détox numérique…  je vais continuer à écrire sur la route – on empêche pas des doigts de taper ni un coeur d’aimer – mais je garderai mes mots pour moi dans un premier temps, et peut-être pour vous plus tard, on verra…

alors chers lecteurs/trices, sioux probablement plus tard autour d’ici, sous un autre nom de chroniques… pour l’été ? les chroniques des pas perdus… à suivre… peut-être, possiblement, probablement…

adieux… au cas…

alphabétiser le silence

942043_620532257958307_559681159_ncent-soixante-douzième pop-up /// 17/6/13

traduction : le silence est un espace de pouvoir et de guérison.

ce matin j’aurais pu laisser parler le silence… j’aurais pu me la fermer, garder mes doigts immobiles, me taire, la boucler, méditer, parler par en dedans… aurais-je dû ?

de toute façon, avec ces plus de 500 chroniques, qu’ai-je dit vraiment depuis une quinzaine de mois ? qu’ai-je écrit qui n’aurait pas été mieux exprimé par le silence ? je n’ai pas seulement alphabétisé le silence, du même coup, je l’ai probablement surtout alphabêtisé…

tous ces mots pour dire quoi au juste ? car que puis-je dire que le silence n’a pas déjà décrit, définit, expliqué, contenu… écris-je pour moi ou pour vous ? de toute façon, je ne sais pas qui je suis, et encore moins vous…

chaque matin que Dieu daigne livrer à notre porte, je sors de mes rêves et je prends le clavier, trouve une image inspirante et me lâche lousse… et bla bla bla, et bla bla bla… je babille, déblatère, radote, papote… me prenant parfois au sérieux, mais souvent et surtout  pas… je tape tape tape, je clapète clapète clapète… tac tac tac, pet pet pet… petits mots vont loin, ou nulle part…

et vous, quelques douzaines de par le monde, parfois quelques centaines, au gré de vos habitudes ou du hasard, vous lisez ce silence alphabétisé, alphabêtisé… vous lisez la blancheur de votre écran rempli par ces mots… ces mots passant par ma tête et mon coeur et mes doigts, puis de mes doigts à mon clavier, de mon écran à mon router puis au net et zoup , et via les ondes wifi, dans l’invisible et par les airs jusqu’à votre router à vous, puis jusqu’à vos yeux  et votre coeur et votre tête… en bref, le grand voyage de quelques mots perdus…

mais pourquoi écrire ? pourquoi j’écris ces mots ? pourquoi je cries mes mots ? pour tenter de remplir un silence pourtant déjà complet, un silence qui contient tous les mots, tous les languages, tous les sens… un silence ultimement plein, un silence déjà content, plein de contentement…

mais quand même, me revoici, et vous revoilà aussi… ou pas… et ces mots gisent tranquilles, sages, curieux… ou vous rejoignent et vous stimulent, vous chatouillent, vous touchent, vous font rire, vous font réagir… ou vous laissent froid(e), vous fâchent parfois, vous irritent peut-être…. ou vous laissent indifférent(e)s, vous dérangent ou vous confirment dans vos impressions et croyances…

écrire comme une habitude, écrire comme une maladie chronique, écrire pour se dire, se mettre à nu, se dévoiler, se partager l’âme… écrire pour dire ce qui ne peut ultimement jamais être dit… mais écrire quand même… écrire pour rire, écrire pour dire, tout et rien…

écrire tout de même, day in day out, parce que plus fort que soi, parce que ce sont les mots qui commandent, les mots qui amènent, les mots qui mènent… mais ils mènent vers où au juste ces mots dits ? vers moi ? vers vous ? vers où ? ici ou là ? et le silence ?

et si je me demande pourquoi écrire, vous, vous demandez-vous pourquoi lire ? car nous sommes deux dans cette histoire… au moins deux… à la fois… une histoire d’amour des mots que la nôtre… car nous aimons autant les mots vous et moi… la preuve ? nous sommes ici encore une fois, à nous dire, à nous lire, à nous lier d’amitié virtuelle…

et malgré tous ces mots, quand même, au bout du compte, le silence… le silence qui coule de mes mots, le silence qui en découle et qui nous ramène chacun(e) à soi-même, chacun à nous-même… face à face avec notre âme, avec notre conscience, face à face avec notre silence…

écoutez… pas bête le silence… accompagné de quelques sons et de musique…

http://vimeo.com/68300902

fouillez-moi, je vous en prie, spy me, épiez pour vous

206247_624266224253482_1444107048_ncent-soixante-et-onzième pop-up /// 16/6/13

traduction : l’oeil de Dieu et ton oeil ? le même oeil, la même vue  – Maître Eckhart

Big Brother. gros quenoeil ! troisième oeil, mon oeil…

journée de double chronique express… oh ! quand même c’est la fête des paires… chroniques en duo… deux pour le prix d’une… pas cher, pas cher, not expensive, cheap cheap… good deal…

de retour d’une session avec une amie osthéopathe (dimanche quel luxe) pour traiter mon vertige (mon cadeau de fête des paires à moi-même, fair père, pépère, père poire), un feu dans le poêle en ce 16 juin (réchauffement de mes gamètes), des amis qui viennent prendre le thé, un peu de Facebook pour voir les messages de gratitude paternaliens… beau ptit dimanche automnal quoi… juste avant la St-Jean…

et l’envie d’écrire aux gens des divers services secrets qui nous espionnent sur le web qui me pogne … oui oui vous là là… allo… enfin, des lecteurs supplémentaires pour mes chroniques… toujours heureux de savoir que je suis lu… mais aux States, habituellement, ils ne parlent pas trop français, encore moins le québécois… do you pogne my jokes friends ? Google translate ? in case you don’t have it : http://translate.google.com/ de rien, for nothing…

je ne savais pas pourquoi je mettais toujours quelques mots en anglais dans mes chroniques, mais là je sais… c’est pour faire contact avec les espions… eux les extra terrestres ? hi there dear, nice to write to you, nice for you to see me… how do you do tiguidou ? do you like my chronicles ? thumbs up ? life good ? your children OK ?

non sérieusement, moi je suis heureux que l’on m’espionne… je sentais bien que j’avais des lecteurs/trices secrets… yé ! oui, je me sentais observé depuis un bout en effet… ça vient gonfler les stats de mon blogue… c’est bon pour la morale… je me demandais aussi quel pays avait CIA comme acronyme… je pensais que la Californie s’était séparée du continent…

ladies and gentlemen, misters and misses officers, plise, jouez dans ma vie privée SVP… lisez moi, fouillez-moi, je suis legit… koscher, clean, net netje fais toujours mes rapports d’impôts, bien sûr parfois je cache quelques petites entrées d’argent, genre quand les gens viennent méditer chez moi mais que quelques dollars ici et là, je le jure sur la bible… mais je reste tellement creux, peu de gens passent ici… mais hier 2 témoins de Jéhovah sont passés, fiou surprenant  ça… I live deep in the forest misteur officeur…  with the maringuoins… with the sailor gouines…

non seriously my friends, fouillez-moi… si vous voulez mes NIP, just ask me… la date de naissance de ma plus vieille, le numéro d’assurance sociale de ma plus jeune, le nom de fille de ma mère et le numéro gagnant du 6/49 du 12 février 2004… en majuscule et racine carrée…

don’t call me I’ll call you… and I’ll tell you… tous mes secrets… tout ce qui se passe dans mon âne et confiance, je vous dirai… tous mes questionnements je partagerai avec vous… et mes cheveux en quatre… share me et mes mots cher et chère matahari et agent 007 du net… I’m clean monsieur net… check me out, mais check me in tooscan my mind…

ma vie privé est publique, pas pubique… j’aime mon pubique… on se fréquente tous les matins sur l’étoile… que vous scannez comme la prunelle de vos jeux… justement, l’autre jour j’ai posté une photo avec des femmes nues et vous l’avez retirée… tiens je la remets… pour voir if you will take it out again ? check it out toi Hercule Poirot virtuel…

Boudewijn Kruithof'sje trouve que vous manquez de goût franchement, c’est de l’art… c’est très beau pourtant… c’est de l’art en barre… mais vous l’avez barrée… or, c’était beau… dommage pour vous… mais la revoici… mais je vous soupçonne d’avoir gardée la précédente et de la regarder en cachette… little pig va…

non mais sérieusement, ça doit en prendre du monde pour épier tous nos courriels, tous nos secrets d’état personnel que l’on échange entre nous sur les médiums sôôciaux, so so so, médias sociaux… ça va faire baisser le taux de chômage un projet comme ça… bonne nouvelle économique enfin… on pourrait outsourcer ça en Chine… car on sait que tous les chinois parlent anglais comme l’a dit si souvent René Homier Roy (on va s’ennuyer de vous le matin monsieur), René Homier pas frère de Patrick… ah I’m so silly putty, excusez-là

http://www.rcinet.ca/fr/2013/06/16/comment-utiliser-internet-sans-etre-surveille-prism-zoubeir-jazi/

from a appy, parano and narcissistic chronicleur, heu not appy, hhhhappy, sorry !

sioux pickaboo

bonne fête ma paire

26cent-soixante-dixième pop-up /// 16/6/13

j’en ai deux… belles, vivantes… bel et bien vivantes, belles et bien vivantes… les plus belles au monde que les deux miennes vous savez… eh oui, moi aussi que voulez-vous ? vous aussi les plus belles au monde ? OK toutes les plus belles et les plus beaux anyway…

j’en ai deux et elles sont ce que j’ai fait de plus beau au monde, ce que j’ai donné de plus beau au monde, ce dont je suis le plus fier… eh oui fier le père… et je ne sais pas vraiment ce que j’ai bien pu faire d’ailleurs car me semble n’avoir rien fait… que faire qui vaille, que père qui braille… n’a pas fait grand’chose en fait le père, n’a pas fait grand chose en fait de père…  que mon mieux, que mon possible…

car c’est surtout leur mère respective qui a fait la job, la job de bras, la job de seins, la job de bédaine, la job de bassin, elles ont travaillé fort les ptites mères… l’une a failli trépasser, l’une s’est fait ouvrir le ventre pour donner vie… moi, ptit père, je n’ai fait que regarder, encourager, dire de pousser, tenir la main… respire respire lâche pas… puis donner le premier bain…

hommage à mes deux filles, hommage à leur deux mères… hommage à ma paire… de filles et de mères… ma paire de belles filles… non, pas mes belles filles, mes vraies filles… pas des belles-mères, de terre mères… mais belles en pas pour rire la tribu…

pas mes demies filles, mes totales filles, totalement mes filles, follement mes filles que je vous aime… pas des demies mères, des pleines mères, des belles mères… car ce sont elles qui ont fait de moi un père… car sans elles, niet le père moi… ce sont elles qui m’ont fait père… dre la boule… qui roule, qui coule et qui roucoule…

je suis un père vert moi, toujours green le ptit père, toujours ti-Joe le père débutant… toujours en train d »apprendre, toujours papa apprenti sage… toujours en train d’apprendre, toujours en train de prendre, et de tout donner ce que j’ai de bien, de mieux, qui vaille… et de recevoir encore plus…

toujours en train d’apprendre le ptit père… en ce moment apprenant à les aimer mes deux filles, mais de loin… toujours autant, mais de plus loin sous le radar… toujours autant mais plus passivement… amour passif, amour au neutre… aimer pour l’amour… amour de père pour sa paire de girlies…

aimer de loin comme en ce moment alors que l’une des deux a connu une épreuve récemment… et que tout ce que je peux faire c’est de lui dire que je l’aime et que ça va passer, même si gros gros le motton j’imagine dans son coeur … car je ne sais pas quoi dire, ne sais pas quoi lui dire… d’autre que je suis là, si elle a besoin… que je l’aime mais de loin… et si proche…

un peu poche le père quand ses filles ont mal… voudrait leur prendre la tristesse si c’était possible… voudrait bien avoir mal pour elles, à leur place et pour elles si c’était permis… mais la vie s’apprend à la dure aussi, pas juste dans les livres… la vie se taille une place dans le coeur à coup d’expérience et de sacrifices…

encore et toujours popa apprenant l’amour… disponible mais à distance… apprenant à aimer sans gestes concrets au quotidien… qu’une fois de temps en temps, un café, un courriel, un appel, un lunch au restaurant…

juste de l’amour à l’air frais, l’amour à l’eau, allo l’amour… l’amour à distance, mais tout proche, l’amour à fleur de peau, l’amour à l’eau de rose… popa gâteau, fifilles éponges, popa nono, fifilles répondent… aie le père…

merci mes filles de me permettre d’avoir une fête de plus, une fête en juin… une sempiternelle fête de père, une fête de paires de filles… vous êtes une paire d’as, deux as de coeur dans mon jeu à moi… j’ai une bonne main… flush royale… plus deux reines de coeur aussi en vos mères… moi le deux de pique, le joker parfois dans le grand jeu de 52 ramasse… tasse toi mon oncle… ramasse ramasse… et brasse et passe…

car oui je l’avoue, je me sens parfois un peu mononcle en tant que père de grandes filles désormais… car quoi faire quand on ne peut prendre la mal de coeur de nos filles ? que leur dire je t’aime…

je vous aime… vous êtes ma paire de fêtes…

vive l’ignorance

600287_544204202306451_548788735_ncent-soixante-neuvième pop-up /// 15/6/13

traduction : l’ignorance ultime consiste à rejeter quelque chose à propos de laquelle vous ne savez rien et refusez néanmoins d’investiguer… – Dr Wayne Dyer

vous reconnaissez-vous aussi ? tellement un comportement humain que nous partageons il me semble celle-là… on ne sait rien et on pense tout savoir… on en sait tellement peu sur tellement peu de choses et on a l’impression d’en savoir tellement… tellement drôle nous sommes…

mais en fait on ne sait rien, ou si peu… ou pas du tout…

même Socrate, ou est-ce Platon ou Aristote ? nous le disait il y a quelques années… la seule chose que je sais est… que je ne sais rien…

cette citation me rappelle il y a 10 ans lors de la remise des diplômes de doctorat à l’Université de Montréal… je ne voulais pas y aller, un peu par snobisme, mais un peu par réflexe d’évitement des foules aussi… mais comme ma mère était à l’hôpital et sur le point de mourir, je voulais au moins avoir une photo de l’événement pour pouvoir lui montrer son fier ptit gars car elle ne pouvait s’y rendre… alors j’y suis allé… et je me suis fait avoir…

car au cours de la cérémonie à laquelle nous étions quelques centaines de jubilés, je me suis rendu compte que si dans mon domaine, j’en savais un peu plus que les autres pour avoir étudié la question spécifique des politiques sur les drogues pendant 6 ans, je réalisai à ce moment qu’il existait d’innombrables objets de recherche de pointe à propos desquels je ne savais rien et qui pouvaient être fouillés à fond pendant des années… je réalisai donc d’un coup que plus j’en savais sur un domaine en particulier, plus j’en ignorais au sujet d’autres domaines encore plus complexes…et chacun de ces domaines de recherche est pratiquement sans fin…

et voilà en quoi consiste pour moi l’intelligence vive : réaliser qu’on ne sait rien, ou si peu… et resté ouvert… et reconnaître que ce que l’on sait relève du passé, de qui on était… donc garder l’esprit ouvert, l’esprit curieux, l’esprit sain… oui mon père… prêt à entendre, comprendre, apprendre, à prendre et à laisser aller… pour faire place à du plus frais, du plus vrai, du plus actuel, du plus spontané…

et ne pas se fonder sur de vieilles connaissances, ni sur de vieilles expériences pour saisir le présent… ce présent qui est toujours neuf, frais, nouveau, actuel… le présent qui n’a jamais été, qui n’est que ce court et futile moment et puis s’en va, faisant place à un nouveau moment… qui passera tout aussi rapidement… sans que l’on le sache…

profiter du chant des oiseaux, de l’air frais passant sur mon visage, de la chance d’être en vie, mobile, choyé, en santé, en sécurité, en abondance… ouvert, curieux, ne prenant rien pour acquis, ne me prenant même pas pour ati… allant jusqu’à laisser tomber l’idée que j’ai de moi-même… car qui sommes-nous vraiment ? la même personne qu’hier ? vraiment ?

en effet, pas fou de ne même pas se prendre pour soi-même car cette tendance à penser que l’on sait qui l’on est nous empêche d’évoluer, de changer, de nous transformer, de renaître à chaque jour… en pensant savoir qui ont est, on se coupe d’un nouveau moi qui peut naître et renaître chaque jour… car entre vous et moi, sait-on vraiment qui on est en ce moment sans se fier sur qui on a été ?

on savait peut-être qui on était hier, mais aujourd’hui, qui suis-je ? qui veut-on être ? alors laissons-nous le choix, la chance, la possibilité de nous réinventer chaque jour… offrons-nous le luxe de ne pas croire en des choses que l’on a jamais expérimentées… peut-être que Dieu existe, mais peut-être que non… peut-être que l’on pense savoir ce que la vie nous réserve, mais peut-être que si on tasse ces extrapolations issues du passé anyway, l’avenir est beaucoup plus grandiose qu’on peut l’imaginer… ou pas… car on ne peut imaginer que ce que l’on connaît déjà…

laissons-nous surprendre par la vie, par l’inattendu, par le magique, la magnifique, le comique, le tragique, le pathétique et le fantastique… car nos vieux scénarios ne peuvent faire que de vieux films… OK, peut-être quelques détails différents, mais le même déroulement et la même fin si on suit toujours le même plan de match

no way José ! allons-y dès aujourd’hui pour de l’outrageux, pour du rêve, pour de l’impossible, pour de l’extravagant, pour de l’inconnu, pour du flabbergastant… permettons-nous de sauter hors du connu, du prévisible et osons changer de track, explorer un nouveau sentier, une nouvelle route, un état d’esprit toujours frais et neuf… ouvert(e) et disponible à qui et quoi que ce soit… ignorant, donc pouvant tout savoir, la tasse toujours vide, donc pouvant toujours prendre du nouveau…

définitivement, heureux/ses les simples d’esprit car le royaume des cieux est à elles et eux… s »ils ou elles investiguent le moindrement…

hi ha…

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pour qui vous prenez-vous ?

1485_458779567545066_331199605_ncent-soixante-huitième pop-up /// 14/6/13

traduction : j’ai déjà eu peur des gens qui disaient : mais pour qui se prend-elle ? maintenant j’ai le courage de me tenir debout et de dire : voici qui je suis !  – Oprah Winfrey

citation forte, confiante, affirmée, assumée, déterminée…

parlante aussi car nous avons souvent cette tendance, lorsque l’on rencontre quelqu’un(e)  qui est sûr(e) de soi, de poser cette question : non mais pour qui il se prend celui-là ? pour qui elle se prend celle-là ?  oui oui vous aussi… essayez pas…

comme si le fait d’avoir confiance en soi n’était pas OK, était prétentieux, snob… tout particulièrement ici au Québec, traditionnellement une terre de colonisé(e)s, de conquis(es), de soumis(es)… aux anglais et à l’Église… et même si la situation n’est plus aussi prononcée en ce sens à l’heure actuelle, le vernis n’est pas très épais… et génétiquement nous avons hérité de cette croyance… petits pains nous fumes, petits pains nous sommes, encore un peu du moins… mais comme on dit, dans les petits pains, les meilleurs levains…

je serai au satori dans moins d’un mois pour mon tune-up annuel et je me disais que cette question pourrait être mon koan, plutôt que qui suis-je ? pour qui te prends-tu ? différents mots mais même sens, même creusage… même quête de sens, de découverte de soi, de clarification de son identité, qui éventuellement ne veut rien dire…

j’aime l’expression se prendre pour car c’est moins figé qu’être ci ou ça… se prendre pour implique une distance entre ce que l’on affirme être et ce que l’on est… se prendre pour implique que l’on joue un rôle… OK je me prends pour tel ou telle… se prendre pour implique se prendre tel quel, et comme tout le reste aussi… ça implique qu’on se prend en totalité, qu’on se prend plus à la légère qu’au sérieux…

car peu importe pour qui je me prends, who cares ? moi le premier d’ailleurs je m’en sacre un peu… dès que je me prends pour ce que je suis dans le moment… qui suis-je anyway ? un personnage temporaire qui s’évanouira, qui disparaîtra quand viendra le grand moment du passage vers le retour à la maison… l’ultime expérience de vie qu’est la mort… entre temps, prenons notre gaz égal… et soi-même à la légère…

car qui nous pensons être n’est pas nécessairement qui ou ce que nous sommes vraiment… car sommes-nous seulement quelqu’un ? vraiment ?  je suis ceci, je suis cela… bla bla bla… ouais ouais, cause toujours mon lapinet, cocasse toujours ma poulette…

qui est ce je qui prétend nous représenter ? comment deux lettres peuvent nous contenir, nous, le monde entier ? comment une telle complexité qu’est un être humain peut se résumer en quelques mots ou par quelques réalisations que ce soit ? je suis en train de découvrir que nous, chacun(e) de nous, sommes le monde entier vous et moi, tout le monde… le monde en soi… nous sommes le monde… bonjour le monde…

et ce constat, qui émerge au fil des ans, des réflexions et des observations, de la contemplation du monde et de mon personnage qui agit dedans, s’installe de plus en plus solidement… et ça relaxe de réaliser cela… je ne suis rien et je ne me prends pas au sérieux… et en même temps, ça implique que nous sommes, chacun(e) de nous, responsable de tout ce qui se passe… si nous sommes tout ça… on ne peut plus blâmer autrui… le monde est nous, et nous le monde…

nous ne sommes pas ce que l’on pense, ni ce que l’on sent ou ressent, ni ce que l’on croit… nous ne sommes pas non plus qui nous croyons être… nous ne sommes même pas pour qui on se prend… ni le on, ni le prend… ni le qui, ni le quoi…

si nous sommes quelque chose, c’est peut-être la présence qui observe tout ça… je sais je sais, ça sonne un peu éso mon affaire, un peu trop détaché, une peu trop smart… mais c’est en train de devenir mon expérience… incarnée, expérimentée, vécue… simplement, concrètement, réellement… autant que réel se peut… jusqu’à ce que la vie me mette au défi…

alors prenons-nous pour qui nous sommes… ou pas… car éventuellement, qui sait quoi ?

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C’est cela la suprême, l’humble prière, celle qui ne demande rien, celle qui se prononce pleine de remerciement :

« Je suis à Toi. »

Ces quatre mots suffisent.

Avec l’âme entière convertie en foi, je m’abandonne à la divinité.

Elle sait parfaitement ce dont j’ai besoin. J’ai confiance en elle.

~ Alejandro Jodorowsky, LE DIEU INTÉRIEUR, p. 41 via Richard T. Chartier

bibittes, labyrinthite pis toutte le kit

Amazing optical illusions l Magical images 4-1cent-soixante-septième pop-up /// 12/6/13

chronique gossée à la main, de soir contrairement à mon habitude (j’écris la plupart du temps vers 5 h le matin)… c’est que demain matin, first thing in the morning,  je dois terminer ma cabane dans l’bois dès l’aurore… l’aurore ou les aurores ?

oui je construis une cabane, une toute ptite cabane dans l’bois, un cabanon en fait… mais au mois de juin, dans l’bois justement, après une journée de pluie non stop hier et des orages spontanées aujourd’hui, devinez quoi ?

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y en a en maudit… pis elles sont grosses de même… grosse année mesdames et messieurs…

intéressante journée de construction aujourd’hui avec les bibittes, mais aussi avec une labyrinthite – tiens ça rime à part ça – qui vient dérober le sol sous mes pieds une fois de temps en temps…

d’ailleurs j’ai placé l’image de présentation – la psychédélique là là en haut – pour vous donner un peu le feeling d’une labyrinthite… à peu près ça… y a pas de quoi, y a rien comme en faire l’expérience en effet…

pas facile de tout mettre top niveau avec ces deux affaires qui finissent en ite qui me tournent autour de… et dedans…  la tête… oui les maudites bibites m’ont tourné autour de la tête toute la journée, me buzzant dans les oreilles, me fouillant dans les cheveux, me chatouillant dans le cou… et la pluie qui tombait, et qui arrêtait, et qui reprenait… challengeante journée

et dedans aussi ça virevolte, oui, dans ma tête ça tourne… pas trippant, pas plaisant, achaland, fatiguant… mets-en… même couché tout tourne parfois, comme s’il n’y avait plus de centre à l’univers… transporté en spirale descendante vers nulle part le chroniqueur… plus rien à s’attacher à… chute libre… tout sacre le camp… paniquant, épuisant, déstabilisant, étourdissant…

y a même des labyrinthitien(en)s qui ne peuvent plus se coucher… ils/elles doivent dormir assis… ou à tout le moins fortement incliné mais pas à plat… merci de ne pas me souhaiter ça…

intéressant tout de même cette labyrinthite qui nous soutire à n’importe quel moment tout centre de gravité, qui nous pousse dans l’inconnu, qui retire le tapis sous nos pieds et qui en passant, nous donne une jambette… exercice de centration, même et surtout parce qu’il n’y a plus de centre… se retrouver subitement nulle part, hors du temps, comme transporté vers l’au-delà… j’vous l’dis… comme un mouvement qui nous propulse vers ailleurs, vers nulle part…

donc chronique potineuse, rapporteuse des petits faits et gestes de la journée… des petits touts et des petits riens… petit coucou avant de roupiller et de peut-être vous retrouver au centre de la terre… ou sur une autre galaxie…

prenez soin et surtout ne fixez pas l »illustration…

youhou…..

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vie en solo

8502_146749672184245_1770716752_ncent-soixante-sixième pop-up /// 12/6/13

évidemment, une évidente évidence que celle-ci… trop évidente… mais quand même…

combien sommes-nous à chercher le bonheur en dehors de soi ? combien sommes-nous à la recherche de l’âme soeur ? et combien de personnes demeurent dans une relation non satisfaisante de peur d’aller vérifier cette hypothèse en solo ?

car il ne faut pas sous-estimer cet instinct d’accouplement si répandu… car les histoires de notre enfance ne nous disaient pas : et il vécut seul et eut beaucoup de temps libre… non, dans le bon vieux temps, ils vécurent heureux et en eurent beaucoup, des enfants… le message est rentré…

tout à fait humain de chercher à s’accoupler, dans le sens de former un couple, de vivre à deux, puis de fonder famille… instinct naturel de reproduction de la civilisation qui nous dépasse qui est plus forte que nous…

qui plus est, lorsque l’on a été dans une relation ou père de famille pour la plus grande partie de sa vie, la vie en solo fait peur au début… vous pouvez en parler au chroniqueur… les quetelles m’ont certainement pogné au début de mon retour solo…

mais après un léger flottement dans cette vie solo et un ajustement nécessaire en cours de route, quelle liberté et quelle ouverture que cette vie en solo… liberté totale, tout l’agenda pour soi, que pour soi… après une vie de fils, de frère, de popa, de chum, de mari, maintenant une vie de moine, une vie de bachelor, une vie de solitude, une vie en soi, par soi, pour soi… un petit bonheur à cultiver au quotidien, une vie de groupe à faire culbuter dans une vie solo…

vivre par soi-même nous ramène inévitablement à soi, à l’essence, à l’essentiel… sensationnel mais vaste et vertigineux… initiatique passage que celui de se retrouver seul dans sa vie après vécu famille… vivre principalement pour soi… vraiment pas évident les premiers temps, car quelques mottons évités au fil de la vie en groupe nous remontent au visage… mais éventuellement, tellement riche, tellement ça…

bien sûr, les premiers temps où l’on vit en solo après passé sa vie avec d’autres, on se sent seul, en manque de l’autre, en manque de contacts physiques, affectifs, sensuels, sexuels, amicaux… on se sent dépaysé, égoïste même, un peu inutile aussi, car à quoi sert un père sans enfants au quotidien ? à quoi sert un chum sans blonde ?  un yang sans yin ? un X sans son O ? à quoi sert Roméo sans sa Juliette ?

nouveau rôle à jouer… qu’il faut jouer justement et non prendre trop au sérieux… en se retrouvant seul après avoir passé une vie en gang, on doit trouver un sens nouveau à la vie, retrouver un sens dans cette vie solo, une nouvelle façon de vivre au quotidien… complètement différente, complètement ouverte, complètement disponible… 24 heures par jour pour soi, que pour soi… ça révèle de grands trous mes ami(e)s…

pour ma part ça aura duré quelques années ce flottement, cet ajustement… et maintenant, lentement mais sûrement, un certain équilibre s’installe, trouvé, retrouvé… yé…

en vivant seul, on apprend à vivre avec soi et on finit par développer une façon harmonieuse de passer ses journées avec soi-même… on apprend à accepter tous ces côtés de soi que l’on ne voyait plus, trop occupé à prendre soin des autres, à regarder hors de soi…

à vivre seul, on se retrouve avec beaucoup de temps à s’accorder à soi, avec tout le temps du monde pour se ré-accorder, pour sonner juste avec soi-même, en harmonie… ce qui peut quand même être confrontant… les soloïstes le savent right ? on ne peut se cacher dans l’orchestre…

alors oui, apprendre à être heureux en soi, avec soi, pour soi… célibataire… vieux garçon, vieille fille… et se sentir tout de même complet, parfaitement comblé… en soi, par soi, pour soi, par choix…

heureux avec soi, tout simplement…

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P.S. hier j’ai eu mon premier visiteur virtuel en provenance de la Palestine… J’ai déjà vu Israel auparavant, mais de la Palestine, la première fois je crois… salam à vous…

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bonjour le monde

Ali Amercent-soixante-cinquième pop-up /// 11/6/13           (art: Ali amer)

wow ! quelle belle grosse journée occupée sur ce blogue que celle de la célébration de la 500ème hier… flabbergasté le chroniqueur…

plus de 450 visites au total à la fin de la journée, en provenance de plus de 13 pays… from Val-David to the world… toujours surpris le chroniqueur que ses mots voyagent autant… et touché… j’ai l’impression, selon la provenance des visiteurs, que pour certains, ce sont surtout les images qui sont appréciées dans bien des cas… des francophones en Malaysie ?  mais comme la vérité passe aussi par les yeux des enfants et ne sort pas que de leur bouche, probablement que les images parlent autant que les mots…

Sans titre

je partage ici avec vous le rapport de provenance des visites sur mon blogue pour la journée d’hier, pour vous amener de l’autre bord de l’écran, pour vous montrer ce que vous ne voyez pas habituellement… pour vous montrer un peu le monde de ma perspective… car je le répète, je vous vois lecteurs/trices… moi et la CIA, même combat…

en écrivant comme je le fais depuis les 15 derniers mois, c’est ce que je veux j’imagine, vous tendre la main, vous rejoindre… même si ce n’est que du bout des doigts…

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en écrivant comme je le fais depuis 15 mois, je tente de sortir de mon écran et de vous toucher, vous voir, vous entendre, vous sentir, bref, vous rejoindre… via l’écran, connecter… avec vous, le monde…

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ce matin, en flânant au lit jusqu’à 8 h (on a pas 500 chroniques à tous les jours, ouf !) au son de la pluie et du chant des oiseaux, et du miaulement de mon chat qui a retrouvé la maison après la visite de quelques jours de Latika la belle Golden, je me demandais pourquoi autant de gens sont allés voir mon blogue hier… habituellement entre 100 et 150 visitent mon blogue quotidiennement… hier ? le triple… bizarre… je cherche mais ne trouve pas…

Au lieu de chercher ce que tu n’as pas, trouve donc ce que tu n’a jamais perdu…~ Nisargadatta

ah OK merci du rappel Nisargadatta, elle tombe à point celle-là… ah ces Saints… toujours là quand on a besoin d’eux…

alors je continuerai à trouver ce qui n’a jamais été perdu… mots perdus, chroniqueur retrouvé… notes égarées, musicien heureux… comme l’image ci-haut, je crois qu’il est possible de se créer, de co-créer et de se re-créer constamment par les mots, par les notes, par les couleurs… se cultiver par l’art… faire de la vie avec la vie, faire du beau avec du dur, faire du doux avec du rough, composter nos difficultés pour alimenter un jardin de roses… que personne ne nous a jamais promis… jardin de roses commence donc par soi-même…

se prendre tel quel, se transformer, se brasser de tous bords tous côtés… s’utiliser comme toile de fond pour illustrer la vie qui coule – et aujourd’hui elle coule du ciel abondamment la vie – transformer, changer, modifier… pour créer, co-créer… circuler circuler…

alors journée mots et musique, journée amis et maison, journée intérieure… autre journée de célébration car avec la musique, avec les mots, avec la couleur, la vie est toujours fête…

encore 499 et on arrive à 1000 😉

 

500 fois merci

155922_442563135820649_757441904_ncent-soixante-quatrième pop-up /// 10/6/13

AVIS : cette chronique «édition spéciale» peut prendre un peu plus de temps qu’à l’habitude à lire écouter regarder etc… prenez-en note cher lecteur/trice…

yé ! ceci est la 500 ème chronique que je poste depuis mars 2012… bravo clap clap ati le chapati… j’exagère ou je n’exagère pas, qui saurait dire… mais non lecteurs/trices, sérieux le chroniqueur, 500 chroniques en arrière des boutons de manchettes… certain(e)s parmi vous, vous en avez plus ou moins presque 500 derrière les paupières… salut…

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500 comme la moitié de 1000… 500 comme ceux d’Indianapolis… 500 comme les plus grosses coupures jaune-oranges foncées du jeu de Monopoly… 500 comme deux fois et demi passez Go… 500 comme un de plus que 499 et un de moins que 501… 500 comme mimillénaire, 500 comme c’est vieux en ta ça…  500 comme la Galaxy suivie du même numéro du temps des gros chars de nos pères quand on était ticuls…

comme c’est ma 500ème chronique, me permets d’être un peu loufoque, un peu loup, ou phoque… un peu fou fuck… ah pis, fuck le fou…

me permets aussi d’exagérer, au moins de 500 %, au moins, simple base de travail… ça peut monter…

me permets de mettre plein de belles images, certaines osées… oser ? certain !

me permets d’inclure deux liens vers des audios (pas longs, ptit speech de Steve Jobs (1 minute) et ptite toune de votre chroniqueur (3 minutes quelque),

me permets aussi d’insérer une bonne joke, bref, j’y vais à 500 %… au moins… pis j’exagère là…

premièrement 500 fois merci… 500 mercis, 5 sans merci… beaucoup merci… beaucoup de mercy on you… merci de me lire, avec commentaire ou en silence, souvent tôt le matin, je vous suis quand vous me lisez… à chaque matin ou presque, je me réveille un peu avant vous et j’écris… puis à votre tour de vous réveiller alors que je mange mes toasts et bois mon café, pendant que vous me lisez.. vous êtes quelques-un(e)s à lire très tôt, mais la plupart vous le faites entre 6 h et 8 h… avec quelques retraité(e)s qui font ça plus tard en mimatin – et ils sauront se reconnaître ;-)… je vous l’avais dit que je vous voyais… et vous vouvoies et te tutoies…

500 chroniques depuis un an et quelques mois, ça fait en moyenne environ une par jour, beau temps, ou mauvais… et ces temps-ci, j’ai du mauvais temps en masse pour écrire vous me direz… ou pas… en passant, avez-vous remarqué aujourd’hui comment le temps était clair ? pur, frais… vive la pluie aussi… ça nettoie…

comme c’est ma chronique numéro 500, je me permets ici même une photo sensuelle…

By Tono Stanophoto : Tono Stano… beau hein ?

comme c’est ma 500ème, je me permets aussi cette photo fofolle, photo foufoune… un peu olé olé… outrageuse.. photo fesses à l’air… cul de sac au musée, yé…

Boudewijn Kruithof'sphoto: Boudewijn Kruithof’s

parlant de folie, Steve Jobs sur ce sujet
https://soundcloud.com/atidion/celebrating-steve-oct-19-2011

Steve-Jobs-datesthanks Stevie boy… rest in peace…

j’aime écrire pour la folie que cela permet, pour toutes les latitudes que l’on peut prendre… quand on écrit, on peut dire ce que l’on veut, personne ne peut faire quoi que ce soit pour nous en empêcher… que ne pas lire… mais empêcher d’écrire ? jamais… la preuve ici… quand même une précieuse liberté, on meurt pour moins que ça…

supportons Amnistie Internationale (http://www.amnistie.ca/)

lire et écrire vont bien ensemble, et nous faisons les deux vous et moi… parce que vous lisez j’écris, parce que j’écris vous lisez… et tourne la vie, et tourne la ronde…

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et parlant de fesses, quoi dire de celle-ci… petits anges cornus… pets de soeur… via Shayam… thanks, cute

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et tiens, parce que c’est mon party de 500ème (ouf ! ça sonne vieux ça), une joke via Subhan Schenker, en anglais SVP… pas traduite… à l’état pur…

Lessons in Life, #3452:

 A young boy enters a barber shop and the barber whispers to his customer, “This is the dumbest kid in the world. Watch while I prove it to you.”

The barber puts a dollar bill in one hand and two quarters in the other, then calls the boy over and asks, “Which do you want, son?”

The boy takes the quarters and leaves.

“What did I tell you?” said the barber. “That kid never learns!”

Later, when the customer leaves, he sees the same young boy coming out of the ice cream store.

“Hey, son! May I ask you a question? Why did you take the quarters instead of the dollar bill?”

The boy licked his cone and replied, “Because the day I take the dollar, the game is over!” 

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et dernier petit cadeau, un premier bout de chanson enregistré avec mes amis Nathalie, Michel et Sophie… merci gang… évidemment une first take pogné sul’flye, sur l’air d’aller, à rafiner sans cesse… comme tout le reste… on travaille déjà là-dessus…

https://soundcloud.com/atidion/masa_lima

Velazquez Raul.photo : raul velasquez

The most approximate language to express God is that of music because music has no language in it; hence it cannot be misinterpreted.  Because there is no language in it, it cannot be misunderstood… – Osho

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jamais 5 sans 1…

P.S. dans l’énumération des chiffres de 1 à 500 sur le post de mon mur Facebook annonçant cette chronique, j’ai omis un chiffre… lequel ?