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zéro

1148888_10201264769813925_582290636_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours ZÉRO ABSOLU

traduction : cette chronique est une effluve d’eucalyptus et on se sait pas si elle existe bel et bien… et vive les licornes multicolores

coucou, surprise ! …. 1001 c’est 1002 finalement ! jamais 1001 sans 1002… après jamais 203…

vous pensiez vous débarasser de moi facilement comme ça ? no way mes osé(e)s…

Yogi Berra (le célèbre joueur de baseball et philosophe de la basique balle) a déjà dit, grâce à la légendaire sagesse qui gisait sous sa casquette :  ce n’est pas fini tant que ce n’est pas finiit ain’t over till it’s over, pour les puristes de la langue du baseball...

alors si Yogi Berra, ati dira… et rédigera chronique jusqu’à zéro car tout compte fait, un vrai bon compte à rebours qui se respecte ne peut s’arrêter à 1… un chroniqueur qui se respecte ne fait pas les choses à moitié, ni au 1101/1002, ni ne s’arrête à 1 quand il compte à rebours depuis 1001…

car que serait le countdown du nouvel an si on arrêtait à 1 ?  et celui de la NASA quand ils lancent leurs flying cadillacs et les appollons pilotes dans l’espace ? à ce décompte-là, on resterait toujours en suspens et en suspension, et éternellement figés sur le seuil de l’année précédente, et les astronautes dans leurs fusées… coït interrompu dans le now here

alors 0…

et voilà la vraie vraie dernière chronique de la série «millénaire chroniques», le point zéro chronique… l’oeil du cyclone… the very last call après le last call… promis juré craché… arkkk, ça m’dégoute toujours dessus quand je jure et crache 😉

mais attention, no way que je descendrai dans le négatif, trop creux, trop sombre, trop infini en bas de la ceinture… zéro absolu est la position fatale parfaite… et d’ailleurs, ceci n’est pas une vraie chronique à proprement parler (ni pour dire salement d’ailleurs), plutôt une espèce de bric à brac de mots et de chiffres sans tête ni queue…

en effet, un peu de n’importe quoi… en fait, j’ai – peut-être, ça dépend de vous car un deal c’est comme le tango et les jumeaux, ça se fait toujours à deux – oui oui un deal pickle dans le vinaigre à vous proposer si vous aimez ce blogue et haïssez la pub comme moi..

ire is le topo…

je suis à la veille de renouveller mon abonnement à WordPress, la compagnie qui héberge mon blogue depuis 3 ans… en général, satisfait le chroniqueur avec leur forfait de base mais il y a quelques années, en plein milieu de l’année d’abonnement, ils nous ont ajouté des pubs intermittentes – inopiné dirait mon mac à moi – qui poppent ici et là à la fin de nos articles… bouh !

ils ont fait ça en nous disant que si on ne voulait pas de ces pubs inopinées, on devait upgrader au forfait premium… eh que j’haïs ce mot là, comme VIP… donc qu’on devait payer 100 quelques $ plutôt que 20 $… ce que je ne voulais payer, déjà que mon hobby me prend pas mal de temps… je ne veux payer trop cher pour offrir mes mots…

alors si vous voulez m’aider à ramasser les 100 quelques $ qui permettront d’éliminer la pub de ce blogue, NOTRE blogue (OK OK le mien mais si vous le fréquentez régulièrement, c’est un peu le vôtre aussi hein ?)…

pour ce faire, vous pouvez contribuer – via l’onglet LA SHOPPE ci-haut – en achetant mon recueil virtuel au coût et à coup de 10 $, ou autre chose de votre choix… ou vous pouvez simplement m’envoyer quelques $ via Paypal – même nom que le blogue… ou m’envoyer un virement bancaire par courriel quelle belle invnetion – à atidion@gmail.com.. non je ne suis plus afwicain…

la date du renouvellement est le 25 septembre alors on verra ce que vous aurez décider… cool hein ? on joue à la roulette rousse ensemble et si on ramasse les sous, ensemble on flushe la pub chronique de ces chroniques !

parlant de sous, un gros merci sincère aux quelques personnes qui m’ont fait parvenir leur dîme hier, très apprécié de sentir votre input… car la vie est du give and take… et parait que plus on give, plus on reçoit… on va tester ça… les sommes amassées iront à couvrir l’abonnement premium mium et nous libérera de la foutue pub… dès que je ramasse la moitié des 100 quelques $, je nous upgrade le blogue… alors à nous de jouer… et contrairement à on, nous inclut la personne qui tape…

donc bon week-end, bon automne et bonne vie d’ère post 1002…

et pour terminer un ptit quelque chose de complètement inutile mais qui va vous r’virer à l’envers…

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twist

et mille et un autres tours de piste ?

10985442_1017203058312789_8102670284249665348_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours basta /// 1… ça ne montera plus – et ça ne descendra plus non plus pour cette série de chroniques…

OK on est arrivés : 1…………………………………………………………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………………………………………………………..1001

ça a passé vite hein ? comme la vie qui file de plus en plus vite… parait que le temps rapetisse… qu’il s’accélère… et même, comme le bonhomme sept heures, qu’il n’existe pas..

hier quand j’ai écrit que j’ai rédigé 1000 chroniques, je suis certain que quelques Thomas ont rouspété intérieurement right ? alors voici la preuve pour faire taire les sceptiques, les vrais et les fosses…

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alors ce matin, comme un lendemain de veille, comme un post party chronique… que dire le lendemain d’un show de boucane ?

que dire la vie qui coule doucement et qu’elle continuera de couler en nous et autour, comme l’eau qui coule sous les ponts, comme à côté… car la vie coule tout le temps, sans que le temps passe vraiment… que nous qui passons, comme l’eau sous les ponts…

que dire d’autre que je continuerai à écrire après m’être accordé quelques jours de pause, question de prendre une distance, de m’ennuyer de vous et de sentir la suite, question de la laisser venir… car les suites finissent toujours par venir si on leur donne un peu de temps… comme les temps durs… comme les bons temps…

que dire d’autre que le contact sans fil mais avec lignes et interlignes que nous avons tissé depuis quelques années en est un d’éternité, d’intimité, de questionnement commun sur le sens de la vie,u regard commun partagé qui nous permet de mieux nous voir de l’intérieur… car nous ne savons rien vous et moi, et ça on le sait…

comme le tore illustré ci-haut, et expliqué  ci-bas, toute l’énergie qui circule dans l’univers est un grand va et vient qui prend place dans un grand et constant mouvement d’expansion… et de contraction… la vie et la mort, en constant aller-retour… l’univers serait d’ailleurs créé en forme de tore… toré déjà…

un peu fier pet le chroniqueur d’avoir réussi à insérer son premier vidéo dans une chronique… il va sûrement récidivé dans l’avenir…

alors que dire d’autre que j’apprécie grandement notre relation, surtout parce qu’elle est virtuelle… j’aime être en contact avec vous, de loin, dans l’invisible, dans le trou du tore… toujours ici quand même…

ici qu’on se rejoint, et là qu’on apprend à se connaître soi-même et les un(e)s les autres… car comme le dit mon maitre bien aimé, la connaissance du monde passe inévitablement par la connaissance de soi en premier lieu… nous sommes la porte vers le reste du monde.. et la porte ouvre par en dedans….

11951795_1605672809683554_2095793346313762617_nalors vous et moi nous continuerons à fouiller en nous, à voir ce qui nous obstrue la vue, à identifier les croyances et obstacles qui nous obstruent la grande vue, la perspective ultime…

dans les prochains jours, je me concentrerai à partir ma dernière année en tant que professeur d’université… eh oui, dernière année où j’enseignerai en toxicomanie après 20 ans… pré-retraite à l’horizon… ensuite, l’inconnu… mais en musique, en écriture, en nature…

dans les prochaines semaines, je vous entretiendrai de ce qui me passionne depuis plusieurs années, soit la connaissance de soi et le traitement de la toxicomanie à l’aide de plantes médicinales en provenance de l’Amazonie… car j’ai invité mon ami Jacques Mabit, le fondateur de la clinique Takiwasi au Pérou à venir prononcer une série de conférences au Québec cet automne… à suivre… mais à ne pas manquer, un homme unique… sommité en la matière…

et je m’intéresserai aussi à la conscience, thème vague et vaste qui m’interpelle, surtout quand j’entends certaines personnes affirmer qu’ils et elles vivent en pleine conscience… pleine conscience vous dites ? alors mettez ça dans votre pleine conscience m’ssieurs dames… 10553956_860248160674941_4246535072840224611_o

alors chers lecteurs trices, je vous donne congé de moi pour quelques jours, je vous libère… je serai de retour la semaine prochaine… nouvelle rentrée…

amor amor amor… et encore… and more…

et en terminant, un bref hommage sans mots à mon maître, en présentant l’un des rares croquis qui a été fait de lui… merci pour tout, et surtout pour rien, beloved Osho…

vimal

en plein dans le mille chroniques

15517_10153106500358089_2298287072508565141_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours /// 2 et ça monte – et ça descend…

traduction : les gens aiment votre travail jusqu’à ce qu’ils/elles aient à payer pour

all right, here we are… oui, ire oui art… ceci est la millième chronique écrite par votre chroniqueur serveur de chroniques matinales pas si humble que ça…

je m’étais donné récemment comme objectif d’écrire 1000 chroniques… et par la suite, j’ai opté pour 1000… et une…

comme dans 1001 nuits, 1001 pots (l’exposition estival de poterie ici au village de Val-David), comme dans 1001 tours dans le sac du magicien, comme 1001 et matins…

donc nous sommes presque arrivés à destination vous et moi… moi qui écris, toi qui lis…. guili guili guili…

et comme thème d’entrée en matière de cette millième, une citation è propos de laquelle je ne sais pas encore ce qu’elle me fera dire… bien hâte de voir quel chat sortira de mon sac de scrabble

car en effet, bien souvent, je n’ai aucune idée  de ce que je dirai quelques secondes avant d’aborder le clavier le matin… ma propre  petite psychanalyse privée publique en direct… droit devant vos yeux… hors de mes doigts…

comme maintenant, j’entame sans savoir la rédaction d’une chronique alors que le soleil n’a pas encore sauté du lit… et lorsque je termine, tadam il fait clair ! ce qui est en processus actuellement… encore… car j’écris habituellement très tôt le matin… je suis un ptit coq tapageur de mots…

alors cette citation : les gens aiment votre travail jusqu’à ce qu’ils/elles aient à payer pour

pas vraiment d’accord avec l’affirmation mais en même temps, quelque chose dans ces mots m’a accroché, titillé, achalé…

peut-être parce ce que j’ai rien à vendre et que, pour la plupart d’entre vous, vous ne voulez rien acheter de moi… ça tombe bien…

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alors n’achetez pas… et au contraire de cette pancarte électorale, je me veux l’ami de votre liberté, comme de la mienne… free free you and me

au contraire de ce qu’avance la citation du haut, je crois qu’il est possible d’aimer le travail de quelqu’un sans vouloir nécessairement l’acheter… et de toute façon pas du travail pour moi écrire, que du fun…

car on est pas obligés d’acheter quoi que ce soit vous et moi… surtout pas quand on aime… mais on peut aimer quand même même si on achète…

et d’ailleurs mes mots ne sont pas vendus, ils ne sont pas vendables, ils vous sont offerts, donnés, lancés même, parfois garrochés… et vous êtes libres de prendre ou pas, libre de lire ou pas… libre de me flusher ou pas…

pas vendables quoi que… l’an dernier j’ai canné 108 chroniques dans un recueil papier… j’ai vendu à peu près ce que ça m’a coûté… suffisant…

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au moins mon hobby ne me coûte rien…

il y a quelque temps, j’ai croisé une lectrice assidue de mes mots dans une rencontre sociale et elle m’a remis 20 $, en précisant qu’elle ne voulait rien en retour, qu’elle voulait simplement me remercier pour mes mots… wow, quel beau geste pour un chroniqueur amateur, le summum de pourquoi on écrit…

matin après matin, day in day out, je vous donne mes mots et vous en faites ce que vous voulez… un peu partout dans le monde, une centaine de personnes dans un dizaine de pays, ici et là sur le globe, consultent mon blogue… mais rien ils/elles ne gobent…

tenez, voici le portrait d’hier par exemple :

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heureux de cette connexion avec vous de par le monde, vrais et vraies humain(e)s virtuels de partout sur la boule… ma connexion avec le monde… ici, de mon home, jusqu’au vôtre, chez-vous, un autre ailleurs sur la boule… d’ailleurs, ne la perdons pas et prenons-en bien soin de note boule, c’est la seule qui nous porte… pacha mama… et elle tourne encore rond… surtout dans tous ses coins…

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coquins lecteurs/trices, je vous sens curieux et curieuses… vous voulez sûrement savoir d’où sortent mes mots ? OK…

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voici… beau hein ?

et pour revenir à la citation du haut, je crois en effet que vous pouvez aimer ce que j’écris sans nécessairement m’acheter… car je ne suis pas vendu… et peu vendable… ni sortable…

mais si jamais vous appréciez mes mots et voulez soutenir une certaine pérénnité dans mes écrits chroniques – car je compte bien continuer à écrire, sans toutefois savoir encore sur quelle base – vous pouvez toujours allez à la section LA SHOPPE de ce blogue et faire un don du montant de votre choix en achetant un item quelconque… ou pas…

et même si vous ne le faites pas, sans rancune, personne ne le saura, surtout pas moi, et je continuerai à offrir mes mots à qui veut bien les yeuxter, qui veut bien s’y pencher… gratis, donnés, offerts gracieusement et avec la grâce que je peux…

car écrire pour moi, contrairement à l’affirmation ci-bas, zéro torture, que du fun, du plaisir… 11817288_10153434172151291_5478170558071352562_naucun syndrome de la page blanche car j’écris à l’écran… et parce que je pars toujours d’une image ou d’une citation… ma bougie d’allumage… pour ça que j’aime écrire librement, gratuitement, sans pression ni attente… pas d’éditeur over my shoulder… et je peux utiliser autant d’anglicismes que je veux… et fuck les puristes… sans rancune dear ones…

très OK pour moi d’être lu par peu d’entre vous… car vaut mieux s’entourer de peu de gens qui nous apprécient pour qui nous sommes… pas besoin d’une grosse foule pour être heureux le chroniqueur, juste de vous savoir là, quelques-un(e)s, curieux, curieuses, ouverts… content content le chroniqueur…

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alors une millième chronique dans laquelle je vais inclure plus de 1000 mots… habituellement, j’en garroche entre 500 et 700 mais ce matin, pour faire concept, vous en aurez plus de 1000 pour votre argent… bon deal non ?

et pour clore cette millième – en passant les noces de quoi 1000 ? just asking

une superbe citation trouvée il y a quelques jours sur un site ami nommé astucieusement La joie d’être un âne… une citation qui résume bien mon intention en écrivant, mon intention de connexion avec vous :

Amie, Ami…

Il est très important pour nous deux que tu réalises vraiment que je vis ce que j’écris et que tu peux toi aussi vivre ce que tu lis.

Pour toi, à travers ta lecture attentive, j’écris une nouvelle fois les mots que tu lis.

L’espace et le temps n’existent pas vraiment.

Nous sommes ensembles.

On laisse facilement glisser entre les doigts de la pensée, le sable du présent.

Passe le temps rythmé par le sablier de l’égo.

Devant le petit tas de sable coulant et grandissant on réalise que trop souvent on n’est pas assez présent !
                                                                            – Jean-Jacques Prade via la joie d’être un âne

et comme cadeau chronique du millénaire, quelques chants de mon cru et d’autres avec mes ami(e)s, pour unifier notre tête et notre coeur, mais surtout pour tenter de toucher votre âme :

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http://eloibrunelle.com/ati

http://www.eloibrunelle.com/osho-daime

et cerise sur le sundae, en terminant pour vrai pour vrai… je vous offre un mille feuilles, la seule pâtisserie qui se conçoit à la photocopieuse… cheers and cheese…

Millefeuille-avec-fondant

quoi pas assez ? OK have the the whole cake !
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wow ! il fait clair déjà… et encore !

tchin tchin…

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rrrrrrrrrrrrrrrrrrrévolutionère

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millénaire chronique(s)… compte à rebours /// 3 et ça monte – et ça descend…

traduction : réapproppriez-vous votre pouvoir de penser par et pour vous-même et échappez-vous des ingénieurs culturels qui veulent vous transformer en morons consommateurs de cochonneries produites à partir des entrailles d’un monde qui se meurt… – Terence McKenna

OK ce matin chronique rebelle, chronique ras-le-bol, chronique déviante… car sans écart face à ce que l’on veut nous faire passer comme la «norme», le progrès est impossible… yes sir Franky boy !

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alors quelques humbles mots lancés sur la toile pour, si possible, casser le moule, sortir du cadre et trouver sa propre voie… que quelques mots pour partir une révolution personnelle, individuelle, une révolution du non-sens car la vie n’a pas de sens et on ne doit pas chercher a absolument lui en forcer un à-travers la gorge…

éteignons les télés, arrêtons d’acheter n’importe quoi, délaissons les magasins à multiples dollars qui vendent de la cochonnerie qui provient de l’autre bout de la terre…

déconsommons, décompressons, décompensons et pensons un peu plus… pensons à ce que l’on veut laisser à nos enfants, ce qu’on veut leur léguer… car de toute façon, les vieilles structures s’écroulent actuellement et rapidement… les bourses shakent, les économistes prédisent n’importe quoi car de toute façon, on ne peut continuer de courir par en avant à l’infini…

cette boule tourne dans le vide et vers le néant et éventuellement, on frappera bien un trou noir… alors en attendant, ralentissons, prenons soin de nos frères et soeurs les plus en besoins … car il y en a pour tout le monde… suffit de mieux répartir, mieux gérer, mieux partager…

vous les gros bonnets de la finance savez bien qu’il ne vous en reste plus pour longtemps… et que toutes vos tentatives de créer une sécurité ne fonctionnent pas car vous faites dans vos froques à l’idée de mourir et de souffrir… la vie est le plus grand risque qui soit et personne n’en sortira vivant… alors au lieu d’exploiter la planète et vos compatriotes humains,

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wake up, fermez la télé et brûlez les quelques journaux qui restent et qui ne sont de toute façon que la propagande des corporations car…

11870815_10203429821345705_1976468096337917634_nvous les journalistes qui couvrez les campagnes électorales vides et creuses, vous qui annoncez les mauvaises nouvelles pour faire peur au peuple, arrêtez, vous faite les clowns quand vous faites rouler ce cirque et rapportez les mensonges de pantins qui ne contrôlent plus rien depuis longtemps aynwyay… car à force de suivre les clowns et de les citer, vous contribuez au grand manège… et on sait que les clowns sont toujours tristes derrière la mascarade…

11218630_1006386546070531_7454257670641115001_net vous téléspectateurs tristes, arrêtez de vous faire bourrer de farce comme des dindes, arrêtes de vous faire fourrer dans le derrière car vous n’y trouvez pas de plaisir… car tant qu’à nous faire fourrer, ayons du fun et des sensations fortes alors faisons l’amour…

arrêtons d’être des moutons qui se tiennent en groupe et soyons des lions, rugissons, mordons, même si cela implique que l’on marche seul car en se tenant debout fidèle à ses convictions, on n’est jamais seul… nous sommes nombreux dans ce monde à vouloir le bien, le juste, le bon pour tout le monde…

nous sommes nombreux à vouloir protéger la planète car nous avons bien qu’en continuant à l’exploiter ainsi sans vergogne, c’est nous que nous tuons… nous sommes nombreux à vouloir arrêter de courir après notre queue, l’argent ou le bonheur…

car courir ne sert à rien, il ne faut que vivre à point… et vivre à point est pourtant si simple, mais pour cela il faut être courageux, sincère et intègre…

et votre bullshit, on n’achète plus… game over…

et pour encourager la réflexion, rien comme Edgar Morin:
http://www.terraeco.net/Comment-vivre-moins-vite-comment,19890.html

se délester de Z à A

11885293_607767486033207_6592903963910006000_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours /// 4 et ça monte – et ça descend…

traduction : au fur et à mesure que je me déleste des choses inutiles, je fais de la place en moi pour les aspirations de mon âme… – inconnu

après 54 années et quelques mois d’existence en ce corps et sur cette terre, je réalise qu’il n’y a rien de plus à acquérir… qu’il n’y a jamais rien eu à acquérir…

au contraire, que des choses, croyances, conditionnements et autres obstacles à la conscience à retirer, laisser aller, laisser tomber, se débarrasser de… basta, kapout, out the door

rien de plus à ajouter pour se réaliser totalement, que des choses encombrantes à éliminer… ne reste plus qu’à faire plus de place pour laisser passer la lumière et éclairer l’âme, pour répondre à l’appel ultime qui nous a fait nous incarner…

car qu’on s’en rappelle ou pas, il semble que l’on ait bel et bien choisi de s’incarner, de prendre corps pour apprendre diverses leçons… ne m’en rappelle pas personnellement mais why not coconut ? ça fait tout à fais sens…

parlant de sens cependant, pas si important que la vie en fasse…

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car comme cette citation de Sadhguru l’énonce :  le besoin de faire du sens relève du mental, la vie n’a pas besoin de faire de sens… vous êtes vivant(e), cela est déjà en soi parfait et suffisant

alors avec les années qui nous passent dessus et nous revirent sans dessus dessous, ces années qui virent tous les sens à l’envers, qu’un sens unique vers l’allègement, vers l’élévation, vers le retour à l’essentiel…

un moment donné, l’âme a pris corps mais dorénavant, le corps doit redonne sa place à l’âme, toute sa place, toute la place… sa juste place… en fait, toute la vie durant, le corps ne fait que se prépare à retourner à la terre tandis que l’âme cherche à reprendre ses droits, retrouver son sens unique vers la source… one way back home...

en fin de compte, l’apprentissage n’est que délestage… découvrir l’âme de ce qui la recouvre, de ce qui la cache, de ce qui lui obstrue le passage vers la lumière… re découvrir son âme libre de corps, libre d’attache, libre de tâche…

la vie ? qu’un grand deep cleaning

et démêler les fils, défaire les noeuds, défaire le chemin qui nous éloigne de l’essentiel, rebrousser chemin vers la source d’où l’on vient et où on retournera, plus ou moins bientôt… pour certain(e)s, cela se fera plus rapidement que pour d’autres… car la source nous rappelle à elle, qu’on le veuille ou non, qu’on coopère ou pas…

alors comme un mongol fier, se délester de ces poids qui nous gardent au sol, qui nous ancrent sur la terre…  alors se défaire du sens de la loi de la gravité…

et se détacher de ce que l’on croit être soi, car au fond nous sommes peut-être rien, rien d’autre qu’une simple présence, qu’un courant d’air…

peut-être ne sommes-nous qu’une cellule nerveuse flottant dans l’univers  ?

11221879_1687119594842857_4348248936207502840_n peut-être ne sommes-nous qu’une forme de parasite se nourrissant d’autres organismes ?

faut que vrai soit

11902446_10153351529172819_4040754755936474339_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours /// 5 et ça monte – et ça descend…

traduction: je respecte ceux et celles qui disent la vérité, peu importe la difficulté… l’intégrité est primordiale

si vrai…

récemment, j’ai dû dire quelque vérités à quelques personnes… pas la vérité avec une grand V comme je soulignais dans une chronique précédente… que ma vérité à moi, ma petite vérité, avec un tout petit v, que ma vérité mais toute ma vérité, je le jure votre honneur… pour sauver le mien, l’honneur face à moi-même…

prenez Edward Snowden…

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afin de demeurer intègre envers lui-même, envers le peuple américain. et ses valeurs, il a révélé des secrets d’État… et il a payé et continue de payer le prix, perdant sa job et devant s’exiler et s’expatrier, faisant face à des menaces de criminalisation, de persécution de la part de son propre gouvernement et tutti quanti… simplement pour avoir dit ce que le public devrait tout naturellement et simplement savoir… même chose pour Julien Assange… et il y en a d’autres…

difficile parfois de dire la vérité et de se tenir debout quand ça dérange, encore plus face à des ami(e)s qu’à des étrangers..

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mais on ne pourra plus se regarder dans le miroir si on ne révèle pas sa vérité, juste sa vérité, toute sa vérité… ça les vraies affaires ? probablement… mais combien mettent ça en pratique ?

bien sûr, pas nécessaire de tout dire et bien sûr aussi tout est dans la manière, mais vient un moment dans le vie où l’on doit se tenir debout et risquer d’être vrai, être soi, au risque de déplaire, au risque de froisser, au risque de perdre…

mais la vérité ne se négocie pas, elle ne se donne pas, la vérité n’est pas cheap… la vérité coûte cher parfois… surtout si on le dit pas…

et comme je postait l’autre jour, les mensonges se déclinent de diverses façons, mais pas la vérité…

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la vérité est non seulement unique, mais elle est aussi unifiante… en effet, elle nous garde en un seul morceau… elle nous rend intègre, elle nous unifie en son propre coeur… au coeur de la vérité repose notre propre coeur…

car à force de la tordre cette vérité, de la twister, de la diluer ou de la noyer, ou de la couper en demies-vérités ou en plus petits morceaux, on finit par se perdre soi-même, par se noyer dans ses mensonges ou ses nuances et par s’éloigner de sa vraie nature… et quand on dit vrai, on n’a pas besoin de se souvenir… fatiguant mentir à la longue… ou de ne pas dire…

et si on se rappelle notre enfance, cette époque avant que le conditionnement social nous apprenne à calculer et à penser à quoi dire et ne pas dire, il était tout naturel d’être vrai…

par exemple, l’autre jour une petite fille m’a demandé tout innocemment : monsieur, pourquoi tu as un gros nez ? bonne question lui répondis-je… seulement un enfant pour nous sortir ça straight comme ça… et ça se prend très bien…

car nous naissons vrai(e) et transparent(e), nous apprenons à devenir faux… et fausses… fausses notes… car on joue juste dès la naissance, c’est par la suite que l’on apprend à calculer et à fausser et à forcer la note… nous devenons des faussaires, des faux êtres…

alors vous comme moi, notre job d’humain est de continuer à dire vrai, à être vrai, et à joindre les paroles aux gestes…  car qui dit vrai ? celui et celle qui ose être soi-même, peu importe qui se trouve devant… bon test de vérité de pouvoir toujours être la même personne, peu importe à qui on fait face, peu importe avec qui on intervient… et beau défi…

et si l’idée est de dire sa vérité, on peut aussi du même accepter d’entendre la vérité de la part des autres… et cette attitude nous fait relaxer car si les autres autour de nous sont vrais, on sait que si quelque chose doit être dit et exprimé, on viendra vers nous, pas besoin de se casser la tête…

donc un service à soi-même et à l’humanité que d’être vrai(e)… alors vrai il faut ?

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11863307_10205039133084257_2895900275451421531_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours /// 5 et ça monte – et ça descend…

chronique coquine, chronique tannante… inspirée par cette photo mischievious… ne peux m’en empêcher, c’est plus fort que moi… eh que j’aurais aimé être ce ptit gars-là moi… alors par omission, par soutien pour les ticoquins, je le deviens et vous lève les culottes – et lève mon chapeau aux titinnants de ce monde – alors je montre mes fesses à tous et toutes…

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vive les gens qui sortent du cadre…

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vive les affiches coquines et impertinentes car le vie est grossièrement impertinente…

certaines personnes sont proper, d’autres daring… certaines personnes jouent des tours, d’autres pas assez… alors ce matin hommage aux impertinents de ce monde… chapeau à ceux et celles qui sortent du rang…

1911872_718308511554428_580703929_nquand je joues avec des enfants, parfois je deviens plus tannant qu’eux… je fais des folies et ils me regardent drôlement… avec un air de dire : ouate de poque monsieur ? eh que j’aime ça… et quand ils embarquent, car la plupart des enfants embarquent dans les niaiseries, on part et on se lâche lousses…

jusqu’à ce qu’un parent nous pogne et nous

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mette en ligne et hors d’état de nuire…

hommage à ceux qui patentent des affaires qui ont pas d’allure,

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à ceux et celles qui photoshoppent la réalité pour lui faire dire les vraies affaires…

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hommage à ceux et celles qui sont weird… de plus en plus weird..

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et qui le restent…

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hommage à ceux et celles qui ne ne regardent que les images, cette chronique est pour vous… faites comme JC, rincez-vous l’oeil…

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hommage à ceux et celles qui regardent la vie par le ptit bout, et qui r’virent tout à l’envers…

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hommage à ceux et celles qui regardent la vie en face, qui osent la regarder drett dans les yeux…

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hommage aux gourous spirituellement incorrect… let’s dring to dattes !

10264676_1394448990857457_6176638326469273677_nhommage aux fêlés…

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hommage aux péteux de broue, ou d’autre chose…

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hommage aux titannants… et à ceux et celles qui leur font dire n’importe quoi..

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et aux excentriques…

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hommage aux excentriques qui osent se pavaner et afficher leurs couleurs…

Université de Médecine Énergétique

et à ceux et celles qui sortent du mur..

Georges Cousot

et vive ceux et celles qui osent apprendre par essai et erreur… souvent… la même…

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et finalement, hommage ultime à ceux et celle qui font la paix…

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résilience

11896162_121011364912177_1364072424975562925_nmillénaire chronique(s)… compte à rebours /// 6 et ça monte – et ça descend…

traduction : vous devez mourir à quelques reprises avant de vivre réellement … – Charles Bukowski

oh que cette citation sonne juste aux oreilles des survivant(e)s… oh que cela résonne les matines ce matin pour ceux et celles qui ont passé à-travers des épreuves éprouvantes qui les ont éprouver… pléonasme voulu pour souligner que le fait qu’une ou des épreuves sont nécessaires pour nous rendre des preuves vivantes que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort(e)…

ce thème m’interpelle particulièrement ces temps-ci car je connais quelques personnes qui vivent des choses éprouvantes actuellement… dur dur de ne pas prendre sur soi quand des proches à nous ont mal, quand ils/elles souffrent… et en même temps, même si on voulait la prendre sur soi, on ne peut ne faire nôtre la douleur et la souffrance des autres… surtout quand elle est invisible et contenue en eux/elles… pas de nos affaires… même si on se sent concerné(e)…

mais quand on a eu mal soi-même, quand on a déjà passé dans le tordeur, quand notre coeur a été brisé une fois ou à quelques reprises, on sait que ces épreuves sont nécessaires, qu’elles sont essentielles pour devenir un(e) humain(e) plus humain(e), plus compassionné(e), plus sensible à ses frères et soeurs…

oh, un(e) humain(e) n’a pas absolument besoin de souffrir pour être belle ou beau, bon ou bonne… mais ça aide… ça l’aide…

ça fait toucher à quelque chose de mou en nous, quelque chose qui résonne quand on écoute et entend les autres qui ne sont de toute façon jamais tout à fait des autres, jamais vraiment des êtres autres que nous… car nous sommes le monde… nous portons le monde en nous… et quand le monde a mal, c’est nous qui résonnons…

en effet, quand il y a présence de douleur quelconque autour de nous, si nous sommes le moindrement ouvert(e) et sensible, cette douleur ne peut que résonner en nous… mais pour cela il faut l’avoir connu soi-même cette douleur, il faut avoir eu minimalement un tipeu mal... ou plus…

pour vivre totalement, il faut être prêt à mourir.. genre… car pas tout à fait mourir comme tel, mais vivre si totalement que l’on ne compte plus… ni les sous, ni le temps qui passe, ni les efforts à mettre pour réaliser nos projets… on ne compte que sur soi, sur ses réserves, sur ses forces enfouies au plus profond de notre être… là où on ne soupçonnait pas qu’il y ait autant de force cachée, autant de capacité de résilience…

on ne peut vivre en gardant le meilleur pour la fin car la fin viendra peut-être avant le meilleur…

alors OK de ne pas garder les rouges pour la fin, mangeons-les maintenant, avant la fin, quand la faim est à son paroxisme… et quand la vie nous passe au cash, tenons-nous debout, solide, bouchons-nous le nez et passons à-travers… en respirant, en sentant, en espérant aussi car lors les temps sont durs, l’espoir d’un temps meilleur est de mise… en fait, c’est dans les temps durs que l’espoir est requis…

mais pas un espoir passif qui nous viendra d’ailleurs, non, plutôt un espoir qui se cache en soi… mais souvent, pour trouver cet espoir, on doit passer par le désespoir, celui qui brûle toute illusion, celui qui nous fait toucher à l’os, à la moëlle même…

pour ensuite, bâtir sur sur cette nouvelle fondation, sur ce nouveau socle sur lequel on se reposera…

alors gang, respirons, restons fort(e)s, et gardons espoir… la vie nous passe dessus et dedans… et ceci aussi passera…

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pronoïaque de profession de foi

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millénaire chronique(s)… compte à rebours /// 7 et ça monte – et ça descend…

traduction : mon nouveau terme préféré est pronoïaque (le contraire de paranoïaque… c’est la croyance qui veut que tout dans l’univers complote pour nous soutenir et nous appuyer...

selon Wikipedia:  paranoïa (du grec παράνοια, paranoïa; des mots παρά (para) : à côté de, et νόος (noos) : l’esprit)
/  trouble mental manifesté par des difficultés relationnelles, des troubles du comportement et un sentiment de persécution pouvant aller jusqu’à un point d’irrationalité et de délire (délire paranoïaque).
/ La pensée paranoïaque inclut typiquement des croyances de persécution liées à une menace perçue comme provenant des individus : jalousie, délires, etc.

alors nous, vous et moi mes très chèr(e)s ami(e)s d’eau et de chair bien incarnés, on reste dans le noïa, soit dans l’esprit, mais plutôt que para, à côté de… on switche pour pro… avec l’esprit, qui supporte l’esprit, qui le soutient… car si on nous a créé, ce n’est pas pour nous menacer, nous détruire, nous faire ou nous vouloir du mal…

la vie doit bien vouloir soutenir la vie me semble…

car si dieu existe (quelle superbe chanson, surtout la version interprétée par Claude Dubois et Céline Dion / voir line youtube ci-bas), il ou elle doit bien vouloir du bien pour ses ptites créatures que nous sommes…

car si petits et petites dans l’univers nous sommes mes ami(e)s… minuscules dans cette immensité grandiose…

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et j’imagine que le tout soutient le tout… que tout se tient… que tout est OK, même si les choses nous semblent parfois aller à l’encontre de nos petits projets… dieu a des plans et nous les nôtres…

un moment donné – ou loué car pas que dieu qui soit loué, le moment l’est aussi – pas fou de considérer la vie comme soutenant plutôt que menaçante… qu’un simple changement de perspective…

car peut-être bien que parfois, la vie veut nous brasser et nous débarrasser de nos idées folles, de nos projets inadéquats, de nos plans qui ne vont pas dans le bon sens… mais cela ne veut pas dire que la vie nous menace, qu’elle soit contre nous…

car contrairement à certains américains, la vie ne peut être que pro vie… vraiment pro envers la vie…

11050096_1022543734445425_8979494099485405671_n alors adieu paranoïa et vivement la pronoïa…

vivement cette capacité en nous de considérer la vie comme soutenante, encourageante, supportante, soutenante, provivante… car la vie ne peut que soutenir la vie…

même la mort est provie… même la mort ne peut que mener vers d’autre vie, vers plus de vie, vers encore de la vie… car tout n’est que vie… car même la mort du corps n’est pas la mort de l’esprit ni de l’âme… qu’un changement de forme, qu’une transition, qu’un changement de char…

et parfois, faut changer de char…

alors vive la pronoïa pour que nous acceptions enfin la vie telle qu’elle se présente à nous, telle qu’elle nous est offerte… sur un plateau d’argent, ou dans une assiette…

suffit de modifier notre perception, suffit de considérer ce qui nous arrive, ce qui arrive vers nous avec ouverture, avec accueil et les bras ouverts…

j’imagine que c’est ce que l’on appelle la confiance, la foi…

pronoïquement vôtre, promaniaquement pronoïaque…

https://www.youtube.com/watch?v=10d7RmJ2Lu8

Avé rité

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traduction : un mensonge se décline en plusieurs variations, la vérité en une seule… – proverbe africain

elle doit venir du grand-père de Boucar Diouf celle-ci… ou de sa grand-mère… mais je remarque que le continent africain – si celle-ci vient vraiment de là-bas – nous offre des citations et proverbes simples et tout à fait  éclairants… il est incontinent de proverbes…

qu’est-ce que votre humble petit chroniqueur de grand chemin pourra bien pouvoir dire au sujet de la vérité ? ou de la Vérité avec un grand V ? celle dont Jésus parlait en double : en vérité en vérité je vous le dis…

difficile de parler de la vérité… les mensonges semblent plus juicy… et plus loquaces… plus à dire à leur propos… les juges en savent quelque chose… du moins ils entendent de nombreuses versions des mêmes faits, souvent perçus différemment par chacun/chacune… selon leurs intérêts et leurs intentions… et leurs perceptions…

car sans tomber dans le couple mythique vérité-mensonges, disons que les vraies affaires, les choses de l’âme, portent peu à parole… le silence leur sied bien…

et le silence ne signifie pas que l’on aie rien à dire, ça peut davantage signifier que les mots ne sont pas toujours nécessaires… –  Hart Ramsey

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mais les perceptions différentes des mêmes faits font beaucoup jaser.. et appellent des versions différentes, sinon carrément opposés des choses qui ont pris place…

notre perception des faits extérieurs à soi varie selon nos croyances, selon nos expériences passées, selon notre capacité spécifique de lire une situation donnée, mais aussi selon ce que l’on bien veut voir… car on perçoit le monde comme on le peut ou comme on le veut bien… on a une certaine marge de manoeuvre dans la grande pièce de théâtre qui prend place devant nos yeux et dans laquelle on joue…

et souvent nos croyances donne le ton à nos lunettes… et nos lunettes à notre binette… et alouette en tabarouette…

car la vérité absolue, la brute et pure, très rare en ce bas monde… on ne peut percevoir le monde qu’à travers divers filtres, par le biais de trames diverses, via notre filtre personnel…

alors ma vérité, ta vérité, sa vérité… plutôt que LA vérité… ou la Vérité…

si on se regroupe, ça devient Notre vérité – la vérité chrétienne, la vérité américaine, la vraie vérité – et là, ça devient plus glissant car la vérité du groupe dominant pèse toujours plus lourd dans la balance…

pas pour rien que la balance soit le symbole représentant la justice des hommes… les arguments de l’un d’un côté, ceux de l’autre de l’autre, et que les plus lourds gagnent… chère prépondérance argumentative… et les paroles de certains uns pèsent toujours plus lourd que ceux de certains autres… notamment celles de certains avocats astucieux et convaincants…

ou comme dans le cas des experts dans les procès… selon qui paie, la vérité peut varier… mêmes faits, mêmes individus, conclusion opposée… et vlan la vérité…

alors chers lecteurs/trices, en vérité en vérité je vous le dis, aucune idée au sujet de la vérité ce chroniqueur… mais ce que je sais cependant, c’est que Jésus n’écoute pas vos prières…

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et ceci est la vérité car c’est sur Facebook…