cinquante-huitième offrande 20/12 (demain le 21… et comme la neige va neiger)
that’s it mes ami(es)… dernière journée, dernière offrande… je pensais arrêter les nouvelles chroniques le 21, mais spontanément, aujourd’hui s’annonce comme la parfaite journée pour ça… le 20 fait le mois… plus rien de nouveau à dire, plus rien de nouveau à lire… tout à rire, tout à vivre, tout de suite… right now…
maintenant le temps de récolter ce que l’on a semé toute notre vie durant et qui nous revient en plein visage… le temps de récolter ce que l’on s’aime… si j’ai semé de l’amour, so be it ! si j’ai espéré la fin du monde, ainsi en soit-il et ainsi soit-elle cette faim d’amour du monde… si j’attends à demain pour vivre totalement, ça sera trop tard… c’est aujourd’hui que ça se passe… right here, right now… pas le 21 le plus important, c’est le 20, aujourd’hui à tous les jours…
nous, humains et humaines, sommes des drama queens… ça nous prend une menace, une fin apocalyptique pour s’éveiller, s’allumer, se réveiller… un happy ending qui arrive après un crescendo de tension et d’intensité émotionnelle, après de nombreuses difficultés, juste avant la fin du monde, la fin du film… après nous ? le déluge…
mais l’humanité se déploie depuis des milliards d’années alors une ptite date comme celle de demain ? le monde en a vu d’autre… la terre, le film, la suite perpétuelle…
ce fut un plaisir de vous connaître… jusqu’à maintenant… de corps ou d’esprit… colocataires, covoyageurs et covoyageuses de cette même planète terre… et c’est encore un plaisir de se connaître maintenant… et maintenant… et maintenant…
mayas merci… de nous avoir prédit ce temps, de nous avoir préparé cette joke cosmique… de nous avoir fait vibrer, fait nous exciter avec une date quand dans les faits, c’est le 21 décembre à tous les jours depuis l’éternité pour qui daigne oublier les carrés aux dates…
et ça le restera encore pour le reste de la même éternelle éternité… un miracle se déroule sous nos yeux à chaque instant, sachons le voir… aujourd’hui plus que jamais, nous l’apprécierons… et demain ? nous l’apprécierons aussi… comme chaque moment…
si j’ai oublié quelqu’un dans mes excuses publiques de l’autre jour, allez en voici une dernière: pardon ! excusez-moi, excusez-là… moi le premier, on a tous et toutes fait du mieux qu’on a pu avec ce qu’on a nous a prêté en début du voyage… et on continuera aujourd’hui, à chaque instant, et demain, jusqu’à l’éternité présente… alors soyons, soyons…
même si je n’écrirai plus de nouvelles chroniques à compter de maintenant, je ne me ferai pas complètement oublier pendant les fêtes, je vous en reparle demain… si dieu le veut… et le yable s’en doute… et moi aussi… et vous aussi…
pour aujourd’hui, que ce qui soit soit, et que sera sera…
allez bonne fin le monde…