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inspire écrire expire respire

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-HUITIÈME

traduction : les vrais écrivains savent qu’écrire n’est pas quelque chose qu’ils ou elles doivent faire, ou pour faire des sous… franchement, cela s’apparente davantage à la respiration… certain(e)s respirent souvent et facilement, d’autres respirent de façon saccadée, d’autres encore expirent longuement mais pour plusieurs d’entre nous, c’est la longue et patiente respiration qui soutient la vie… – Milissa R. Bailey

alors je suis un vrai… car je ne dois pas absolument le faire… j’aimerais bien faire des sous avec mes mots mais pour le moment pas le cas et on en fait passe cas… mais c’est aussi fondamental que respirer… inspirant écrire…

un écrivain, un écriveux, un scribouilleur que je suis… techniquement, je suis principalement un blogueur, mais dans les faits, qu’un blablateur public… blabla en français… avec quelques anglicismes pour pimenter la soupe à l’alphabète…

un tapageur tapant sur les touches de son clavier, et parfois probablement aussi sur les nerfs de ses lecteurs…

la réalité est simplement que j’aime écrire… j’aime jouer avec les mots, j’aime dire n’importe quoi et parfois, souvent en fait, n’importe comment…

j’aime sortir des sentiers battus, en fait j’aime ouvrir les sentiers pas lus… j’aime ouvrir des sentiers dans ma propre tête en me laissant écrire, en me laissant inspirer, en me faisant transpirer…

écrire est en lien avec la respiration car les mots sont de l’air, parfois chaud, parfois vide… les mots viennent de nulle part et s’en retournent toujours là inévitablement…

mais parfois certains morceaux de mots s’accrochent, des bribes restent prises dans les mémoires des lecteurs/trices… ça entre par les yeux et ça reste parfois dans les âmes, parfois dans les têtes… parfois les mots confortent, parfois ils dérangent…

écrire est pour moi comme semer des petits bouts d’âme aux quatre vents… comme les fleurs propagent leurs graines, je dissémine mes mots un peu partout, au détour des humeurs et des citations trouvées…

des milliers de chroniques plus tard, toujours au même point le chroniqueur… ici, là, devant vous, en vous, tapant autour… des ptits bouts de rien pour les oiseaux matinaux, des ptits bouts de pain pour les oiseaux, moineaux et tourtereaux…

écrire comme on respire, et lire comme on se le fait dire… mais on lit toujours ce que l’on veut, ce que l’on peut… on lance des mots et certain(e)s les attrapent, d’autres s’y accrochent… et d’autres encore restent indifférents… tandis que la plupart ne les devinent même pas exister… ces mots ne sont que pour quelques paires d’yeux… deux par deux, yeux par yeux..

écrire, pour rien, écrire, c’est tout…

non rien de rien

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-SEPTIÈME

traduction: les gens vont t’aimer, les gens vont te détester… et ni l’un ni l’autre ne te concernera
– Abraham Hicks

tout au long de notre vie, quelques personnes vont nous aimer, quelques-unes nous adoreront même peut-être… certains ne nous aimeront pas, d’autres nous détesteront ou nous haïront carrément…

mais la bonne nouvelle est que rien de cela ne nous concernait, ni ne concerne, ni ne nous concernera… leurs affaires… comme nos affaires ce que nous ressentons envie les autres… nous ne sommes, tous et toutes, que des miroirs les un(e)s pour les autres…

ah je sais bien, pourtant pas toujours évident de vivre sans modifier nos agissements et comportements en fonction des réactions et sentiments des autres… surtout nos proches… en fait, sans fonder comme telles nos actions en fonction des sentiments des autres, bien sûr qu’il faille écouter et rester sensibles à ce feedback quand on partage notre quotidien avec d’autres âmes…

mais de là à laisser les sentiments, émotions et perceptions des autres à notre endroit guider nos actions quand même hein ? mais le fil est mince…

bien sûr que si l’on a des enfants, on doit écouter ce qu’ils nous disent et s’en préoccuper, et il se peut que l’on fasse des choses que l’on ne ferait pas si on était célibataire et non parent suite ces commentaires…

mais ce que les autres en général  disent et pensent de nous, pas si important… en fait pas important du tout… car ça ne concerne pas vraiment, pas du tout…

comme ne nous concerne pas non plus ce que nous éprouvons et pensons face aux autres… que des miroirs nous sommes les un(e)s pour les autres…

vous vous rappelez celle-ci ?

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nous ne sommes pas ce que vous pensez que je suis et vous n’êtes pas ce que je pense que vous êtes…

alors en fin de compte, nous ne sommes probablement rien, ou du moins pas grand chose anyway… nous ne sommes surtout pas ce que nous pensons… ni de nous, ni des autres…

définitivement, les gens vont nous aimer et vont nous détester… et ni l’un ni l’autre ne nous concerne, ni ne nous concernera…

bon de se le rappeler une fois de temps en temps…

alors que vous aimiez ou détestiez cette chronique, on ne se crèvera pas le jaune avec ça right ?

mode d’emploi humain 101

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-SIXIÈME…

traduction:
vis sous tes moyens…
rends tout ce que tu as emprunté…
arrêtes de blâmer les autres…
admets-le quand tu commets une erreur…
donnes des vêtements neufs et non des vieilles guenilles aux organismes de charité…
fais quelque chose de bien et essaie de ne pas te faire voir…
écoute davantage et parle moins…
fais une marche de 30 minutes à chaque jour…
vise l’excellence et non la perfection…
sois ponctuel(le)…
ne te justifies pas…
n’argumente pas…
sois organisé(e)…
sois gentil(le) avec les gens…
sois gentil(le) avec les gens malcommodes… 
laisse quelqu’un passer devant toi dans une file…
prends du temps pour être seul(e)… 
développe les bonnes manières…
sois humble…
prends conscience et accepte que la vie n’est pas équitable…
apprends quand te la fermer…
passe une journée complète sans critiquer qui ou quoi que ce soit…
apprends de tes expériences du passé…
planifies en vue de l’avenir…
vis le présent…
ne t’en fais pas pour des pécadilles… ce ne sont que des pécadilles…

ça sonne simple et facile non ? lol évidemment… 😉

que 27 petits trucs pour être intègre, ordinaire, simplement humain… car pas si compliqué la vie quand on y pense… que des petites choses… la vie n’est que petits détails…

on ne reprendra pas chaque item de cette checklist ici mais quel beau miroir pour voir où nous sommes face à soi-même non ?

je ne vous dirai pas où j’en suis personnellement face à cette checklist (et ne veux pas savoir de votre côté) mais personnellement je la garde sous la main car ces quelques recommandations toutes simples me semblent plus que pertinentes pour développer ce que certains nomment parfois une bonne hygiène de vie (quelle drôle expression platement médicalisante)…

mais si justes ces quelques affirmations pour adopter une pratique de vie simple, pas compliqué et près du sol… rien de spectaculaire, que du ptit bon sens… zen zen…

easy is right and right is easy, disait Osho…

mais aussi compliqué quand c’est simple comme ça… et nous sommes toujours right… genre…

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allez, je vous souhaite un bon petit dimanche pour mettre en pratique cette checklist…

________
Be patient toward all that is unsolved in your heart and try to love the questions themselves, like locked rooms and like books that are now written in a very foreign tongue.

Do not now seek the answers, which cannot be given you because you would not be able to live them.

And the point is, to live everything.

Live the questions now.

Perhaps you will then gradually, without noticing it, live along some distant day into the answer…

– R.M. Rilke

 

réalité à la carte

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-CINQUIÈME…

ah la réalité… tant à dire à son sujet et en même temps, qu’est-ce qui se cache derrière ce seven letter word ?

car la réalité est multiple, variable, multiformes… la réalité est multi-couches… un hologramme…

certains vivent dans des mondes imaginaires, d’autres disent vivre dans la réalité, leur réalité, la seule, la vaie, la bonne… celle à laquelle on peut toucher… mais qu’en est-il réellement ? pour de vrai ? bien malin qui dira…

en réalité, nous vivons tous plus ou moins obnubilé(e) par un voile d’illusion… quand nous ne sommes complètement aveuglé(e) par ce que nous croyons, chacun et chacune de nous portons, à des degrés divers, des lunettes déformantes… nous créons, et croyons, chacun, chacune, notre propre monde… réalité montre-toi… montre moi…

chacun chacune avons dans les yeux des images plein la tête, images que l’on projette sur le monde extérieur, en fait qu’on dit extérieur, car pas de dedans ni de dehors en réalité… car en dedans ou dehors de quoi anyway ?

à l’extérieur de notre peau ? de notre tête ? de notre conception de soi ? un soi que l’on pense séparé du tout, de tout le reste que l’on pense comme non relié à soi… mais pourtant.. qu’un seul et même monde, qu’une seule et même réalité partagée…

ou qu’un seul et même rêve ? et le rêve de qui ? sommes-nous les rêveurs ou les rêvé(e)s ? sommes-nous les acteurs jouant dans le rêve d’un autre ?

par exemple, dans certains livres qui racontent de drôles d’histoires, l’histoire avec un grand (joint de) H, notre continent a été découvert… pour d’autres, il a été envahi…

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c’est selon notre côté de la clôture… et de l’histoire… certains font l’histoire, d’autre subissent celle des autres… en fait, la plupart d’entre nous avons acheté une version de l’histoire, selon les livres qu’on a lu et cru… si c’est écrit dans le journal est devenu je l’ai vu sur internet… même marge de manoeuvre…

par exemple, certains d’entre nous ici se considèrent pauvres, ou moins fortuné(e)s pour faire alphabétiquement correct…… mais dès que l’on conserve nos aliments dans un frigo, qu’on serre ses vêtements dans un placard, qu’on a un lit pour dormir et un toit au-dessus de notre tête, nous sommes plus riches que 75 % de la population mondiale… alors riches ou pauvres en réalité ? on a la réalité élastique et changeante…

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la réalité est un concept illusoire ou l’illusion d’une réelle réalité… c’est selon…

mais peut-être qu’en fait le terme réalité est une histoire inventée ? peut-être que la réalité n’existe pas et qu’il n’existe qu’une multitude de réalités surimposées, comme un immense hologramme… des couches de réalités… une réalité en sous-couches…

on dit que l’idée consiste à s’éveiller à la réalité et non à notre propre interprétation de la réalité… merci pour votre beau programme… mais comment on sait que la réalité que l’on perçoit est LA réalité ? surtout si on conçoit qu’il existe une somme infinie de réalités…

en vérité en vérité je vous le dis, disait le fils de la plus grande réalité illusoire……

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pour certains, la réalité est cet espace temps inconfortable se situant entre le sommeil et l’internet

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réalité de plus en plus virtuelle mais non moins réelle pour certains qui y vivent…

mais comme l’exprime si bien notre cher Eckart Tolle, la réalité de la plupart des gens est que dès que quelque chose est perçu, cette chose est nommée, interprétée, comparée avec quelque chose d’autre (habituellement quelque chose  de connu – ajout du chroniqueur qui s’en permet un peu) aimée ou détestée et catégorisée comme bonne ou mauvaise par le soi fantôme, par l’égo… les gens sont prisonniers de la forme pensée, dans la conscience objectivée

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en réalité, on fait la réalité qui nous plait, ou celle que l’on peut… réalité à la carte… on pense que lorsqu’on peut la toucher, la réalité est tangible et réelle… mais pourtant… on ne peut toucher à l’amour…

en fait peut-être que la réalité est aussi simple que cela:

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alors on peut commencer à relaxer peut-être ?

car peut-être qu’en ce moment même, nous sommes dans une autre vie vous et moi, nous tenant côté à côte, en train de rire en nous disant que dans une autre vie, nous sommes séparés ?  Capture d’écran 2016-01-11 à 13.33.33

spooky non ?

je sais je sais, difficile d’être le mouton psychédélique de la famille…

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mais qu’une autre version de la grande histoire inventée de toutes pièces… pour ceux qui ont un vieil appareil, la réalité multicolore ne se perçoit qu’en noir et blanc… avec des oreilles de lapin… et plusieurs fils…

d’autre part, pour certains, les extra-terrestres sont une invention humoristique… alors que pour plusieurs scientifiques, qu’une simple évidence… car la terre a déjà été plate avant d’être ronde voyez-vous… et pourtant…

pour certains autres, la vie est une grande menace alors que d’autres sont certains que nous vivons dans le jardin d’Eden… et pourtant… la même réalité que l’on partage…

alors en terminant, ici, quelques minutes de propos intéressants:
http://www.elishean.fr/?p=53146

on se voit dans ma réalité ou dans la vôtre ? chez-vous ou chez-nous ?

sioux 😉 ensemble ou à part…
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aho mes aïeux

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-QUATRIÈME…

traduction: chaque pas que vous faites est soutenu par des milliers d’ancêtres

oh que ça rassure mon petit moi de savoir ceci…

savoir, ou croire, ou penser, ou sentir, ou concevoir… mettez-y le verbe que vous voulez mais personnellement, j’aime savoir/penser/croire/sentir/concevoir que chacun de mes pas est soutenu par des milliers d’ancêtres…

car qu’on le sente ou pas, qu’on le croit ou pas, ça semble plus que plausible que nous ne sommes pas seul(e)s ici-bas… ni vous, ni moi, ni personne… non, personne n’est seul(e) et isolé(e) ici-bas sur cette terre… car nous respirons le même air, buvons la même eau, sommes faits de la même poussière d’étoiles…

des milliards de personnes ont foulé cette terre, ont marché ce sol avant nous… et au moment de leur trepas, on peut se demander où elles sont allées, où elles vont et où elles iront… mais leur passage a inévitablement laissé des traces…

et nous, où irons-nous lors nous quitterons notre corps ? bien sûr, notre corps lui sera brulé et s’envolera en fumée ou bourré de produits chimiques pour lentement aller se décomposer par la suite six feet under (quelle formidable série), mais notre âme elle ? ou notre ptit bout de la grande âme devrais-je dire ?

car la mort est le plus grand mystère qui soit… et la plus grande peur qui soit parait-il… même pour ceux et celles qui disent n’avoir pas peur de mourir… car peut-on dire que l’on a pas peur de mourir quand on a jamais mouru auparavant ? ou si on croit à la réincarnation, peut-être qu’on a indeed déjà mouru mais qu’on ne s’en souvient plus ? peur importe… revenons-en à nos ancêtres…

alors les sentez-vous vous ? ceux et qui celles qui nous observent way up there ? ou tant qu’à se poser des questions, way in there ?

car on imagine les esprits de ceux et celles qui nous ont précédé ici-bas sur la belle verte comme flottant dans une twilight zone vaporeuse là-haut à quelque part dans les astres pendant que nous on vit seul(e) et isolé(e) ici dans les désastres, mais peut-être qu’ils et elle vivent encore en nous ? en notre coeur et conscience ?

que des questions car je ne suis certain de rien mais parfois je réussis à sentir… oui, parfois quand on chante en cercle mes ami(e)s et moi, je les sens ces vieilles âmes, ces fils et filles des temps immémoriaux, devenus grand-pères et grands-mères puis anges-gardiens et gardiennes… ils et elles jouent avec nous, ils et elles chantent en notre compagnie… eux et elles autant que nous faisons partie du grand choeur humain, de la symphonie universelle…

ces êtres des nuanges aiment quand on se rassemble et qu’on chante, et qu’on prie, en mots ou en silence… pas pour prier le père Noël et lui demander des bébelles ou pour améliorer les plans divins, simplement pour s’unifier, se reconnaître et créer une espace sacré pour qu’ils et elles puissent revivre en s’incarnant à-travers nous…

car les aïeux aiment les trips de gang… ils se sentent attirés quand plusieurs personnes de coeur s’unissent car plus de force et plus de coeurs à partager, à unissionner…

aho mes aïeux, je vous invite, vous appelle et vous implore car nous avons besoin d’éclairage en ce moment… vous là-haut dans les astres inspirez-nous pour qu’on voit ce qu’il faut faire devant les nombreux désastres que nous avons créés… aidez-nous à voir plus clair dans nos zones d’ombre car pour cela nos yeux s’y perdent…

aho mes aïeux… sioux…

 

rubrique à brac de l’esprit religieux

((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-TROISIÈME…

lors de la chronique précédente, je jonglais avec les concepts de religion et de spiritualité… pas que je sois un ti-jos connaissant en la matière, mais comme plusieurs d’entre vous, les choses de l’esprit me fascinent, et en général les religions me répugnent… du moins ce que certains hommes font en leur nom…

je n’aime habituellement pas le terme Homme avec un H majuscule pour désigner les humains en général mais quand on parle de religion, ça sent surtout l’homme et son hommerie… toujours la domination de l’homme dans les pays d’en haut…

idéalement, peut-être que les religions ne devraient n’être que des mouvements désorganisés, spontanés, vivants et non des système quasi politiques qui tentent de réglementer et encadrer des comportements humains…

mais la vie étant ce qu’elle, on tue au nom d’un dieu qui n’est en fait que le même concept abstrait de l’inconnu…

alors ce matin, au lieu de parler de quelque chose que je ne connais pas plus que vous, je vous présenterai tout d’abord un chapelet de citations inspirantes et transpirantes de lucidité…

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traduction: plusieurs personnes pensent qu’être spirituel signifie être positif, mais être spirituel signifie plutôt être conscient(e) et alerte… devenir conscient(e) est très différent que de devenir positif… afin de devenir conscient(e) et alerte, nous devons être authentique… et l’authenticité inclue autant le positif que le négatif… – Teal Swan

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traduction : dieu est conscience et non un créateur… dieu est la source même de la création… cela  (pas lui ni elle) n’est pas indépendant de vous… c’est la globalité du tout…  alors quand je me qualifie de dieu, je ne parle pas du moi personnel… je parle de l’expression de la par de dieu qui réside en moi… le verbe, l’énergie, pas le nom… lorsque vous conceptualisez dieu comme un nom, une personne, un endroit ou une chose, vous vous en séparez et vous devenez immédiatement un être limité… c’est qui distingue les croyants (religieux) de ceux et celle qui savent (spirituel)…

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traduction : la religion a convaincu les gens qu’il existe un homme invisible, qui vit dans le ciel tout là-haut, et qui surveille tout ce que vous faites, à chaque minute de chaque jour… et cet homme tient une liste de 10 choses précises qu’il ne veut pas que vous fassiez… et si vous faites l’une de ces choses, il vous enverra dans un endroit spécial pour que vous brûliez dans le feu, et il vous torturera et vous souffrirez et brûlerez et crierez pour l’éternité… mais il vous aime… il vous aime et il a besoin d’argent… – George Carlin

pour résumer, celle-ci, de Circling Thunderbird, devrait faire l’affaire non ?

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j’offre du tabac, tu donnes une dîme…
je pries dans une loge de sudation, tu vas l’église…
je me purifie avec des herbes sacrées, tu te bénies avec l’eau bénite…
je jeûnes dans le cadre de cérémonies, tu étudies bible…
je vis selon les 7 principes des aîné(e)s et tu respectes les 10 commandements…
j’agis avec tout ce qui vit comme je voudrais qu’on agisse envers moi et tu fais aux autres ce que tu voudrais qu’on te fasse à toi-même…
ni l’une ni l’autre voie n’est erronée, ni supérieure à l’autre… les deux sont nos vérités et des façons sacrées de vivre…
je respecte la tienne et s’il te plait respecte la mienne…

personnellement ?

1914112_444516715756025_8720919396186133476_n oui la même religion que mes amis les arbres, ici dans ma forêt du pays d’en haut dans le grand now… la nature est mon église, la marche et la musique, mes pratiques religieuses… l’ignorance divine ma réalité…

car ensemble, nous tournons dans l’espace, personne ne sait vraiment ce qui se passe…

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et je vous aime…

mais en vérité en vérité je vous le dis, je n’ai aucune idée de ce que nous faisan ici…

et comme le plus grand ennemi de la vérité est est la personne qui sait tandis que le plus grand allié est celui qui ne sait pas…

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et comme je disais justement dans la chronique précédente, soyons tous et toutes de chers alliés de la table ronde… des esprits…

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tout égo devant l’infini… tous et toutes égaux et tous et toutes unies dans le grand cercle de la vie, au-delà des nations désunies… personne en avant, ni derrière, ni en haut, ni en bas…

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aho…

chers allié(e)s de la table ronde

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-DEUXIÈME…

traduction : la spiritualité est une table ronde, personne ne peut s’assoir à sa tête…

on se demande parfois quelle est la différence entre spiritualité et religion… techniquement, la religion, du latin religiore signifie relier, alors que la spiritualité témoigne des choses de l’esprit… l’espiritualité…

en fait, dans le monde matériel, la religion fait davantage dans la politique – on n’a qu’à penser à Rome et au Vatican et aux extrémistes islamistes – tandis que la spiritualité est un grand fourre-tout, allant du new age aux anges et à l’ésotérisme…

mais en fait bis, ce ne sont que deux termes pour les choses de l’esprit… pour ce qui était ici avant que nous ne prenions corps et ce qui persistera après que nous trépassions…

à l’image de la table ronde, les valeurs spirituelles des premières nations réfèrent souvent au concept du cercle…

dans un cercle, nous sommes tous et toutes lié(e)s, dans un cercle personne n’est en avant, ni en arrière, ni au-dessus ou au-dessous.. tout le monde est égal…

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même si, dans les traditions amérindiennes,  on trouve un chef de clan ou une grand-mère possédant une expérience qui est valorisée et qui dirigera les échanges au coeur du cercle, l’énergie coule mieux assis en rond, ça passe plus fluidement…

dans un cercle, on voit chacun et chacune et on est vu(e) de tous… all int he open… la vie tourne toujours mieux en rond… surtout dans les coins…

pas pour rien que la roue a changé l’histoire de l’humanité… ce qui roule déboule et tout découle de ce qui roule…

oui définitivement, la vie est ronde… le solei l’est, la lune aussi, les planètes le sont également… et la terre, la terre…

les bedaines des femmes enceintes sont rondes, donc notre naissance même puise dans la circularité…

même si nos têtes sont rondes, parfois on pense carré, on pense linéairement…

même si on n’y pense pas toujours, la terre est ronde… même si on a longtemps pensé qu’elle était plate, elle est belle et bel et bien ronde… le monde est ronde… pas de lignes de frontières, pas de racines carrées… qu’une grosse boule bleue qui tourne dans le vide…

personnellement, lorsque je me trouve en groupe, je préfère toujours que nous soyons disposés en cercle… autant dans les méditations que pour les concerts, cette forme rassemble mieux la foule, cette forme nous permet d’être vraiment ensemble…

alors chers alliés et chères alliées, je vous la souhaite bonne notre table ronde…

pensez-y même pas

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENT-UNIÈME…

traduction : peu importe le nombre de pensées qui montent en vous… à chaque pensée qui se présente, on devrait (ou pourrait – note du chroniqueur) se demander, avec diligence : en qui cette pensée émerge-t-elle ? – Ramana Maharshi

tiens donc, je citais justement Ramana Maharshi dans ma chronique d’hier… si vous ne me croyez pas, n’allez surtout pas voir… mais revenez… 😉

je suis certain que vous aussi vous avez déjà essayé de ne pas penser… tough non ?

imposible en fait, on le sait tous et toutes… on n’empêche pas une tête de penser, pas plus qu’un coeur d’aimer…

ah on peut bien penser qu’on ne pense pas, mais ça, pensez-y pas, ça pense tout seul… tout le temps, même quand on dort…

la vie se pense comme elle se respire… comme elle s’inspire et s’expire, comme elle se boit et se pisse… se mange et… OK OK on a compris le chroniqueur…

alors une pensée à la fois, demeurons vigilant(e) et laissons-les aller où et quand elles veulent… car les pensées sont sauvages et meurent rapidement aussi…

assez simple en théorie… mais on le cherche encore ce foutu pays… pas loin de la république d’abstraction parait… bon voyage..

une pensée à la fois, sentir, observer, demeurer alerte, présent, curieux… ne pas (trop) accrocher., ne pas partir, ne pas juger… les regarder ces fichues pensées… car les pensées ne sont pas que des fleurs…

les pensées sont aussi des bulles… des bulles sauvages et spontanées, indépendantes et parfois encombrantes… des bulles qui montent et qui vont mourir sur les rivages de l’abîme du néant… sans cesse, sans fin, les pensées montent et poppent et pètent et disparaissent… jusqu’à leur réapparition constante et perpétuelle…

toujours de nouvelles pensées ou toujours la même qui change de contenu ? détail insignifiant…

une pensée à la fois, simplement parce qu’elles sont là, ici, nulle part et partout à la fois… les pensées sont infinies et infiniment perpétuelles…

comme nous le rappelle Ramana, ce qui importe n’est pas tant d’observer le contenu de nos pensées mais davantage de se demander à qui elles arrivent ? et petit complément philosophique, d’où elles viennent… et où elles vont…

une pensée à la fois… regarder, accepter, ne pas juger, observer et laisser aller…

car pas si grave de penser… tout le monde le fait, et c’est le propre de l’humain… et comme le dit Gandhi, le bonheur consiste à aligner harmonieusement pensées, paroles et actions… marcher sa parole quoi…

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alors peu importe d’où elles viennent et où elles vont, si elles s’arrêteront un jour ou pas, probablement que oui au moment de notre mort, observons cette boîte à surprises qui fait apparaitre l’une après l’autre et l’une à la file de l’autre des pensées multiples, sans cesse… et sans arrêt, ou presque… flot perpétuel de pensées…

peu importe leur nombre, leur saveur ou leur couleur, les regarder comme un film, comme un fil qui les enfile les unes après les autres… pour les laisser partir vers nulle part, dans le grand dépotoir à pensées… ou centre de recyclage, c’est selon… là d’où elles émergent, et retournent… dans le grand mystère… comme nous…

ouf… une chance que nous ne sommes pas nos pensées…

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« As long as duality is there, no happiness is possible. »

Duality appears together with the sense of individual existence. It’s a package deal. As soon as you subscribe to « I am this, » you automatically get « I am not that » as well. When duality operates in this way, the sense of separation from everything else, that is everything that is perceived as « not-I, » is inevitable.

Actually, you even conceive of the Self, which you always are, to be something separate from you. You then think of it as an object to be attained and start to search for yourself! What could be more ludicrous? In duality, everything becomes wrong. It goes without saying that happiness, other than the most fleeting taste, is not possible in these mixed-up circumstances.

The Way Of The Bird – Quotations of Ranjit Maharaj, commentarie by Andrew Vernon

1101

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – CENTIÈME…

traduction du chroniqueur : je suis un chroniqueur, tout ce que vous direz ou ferez pourrait être utilisé dans l’une de ces chroniques

wow, je me surprends moi-même… mille-cent-unième chronique le chroniqueur… je suis vraiment malade chronique… malade de chroniques… 1001 chroniques électroniques…

ça me frappe toujours quand je franchis le cap d’une nouvelle centaine… de plus en plus chronique notre affaire… le plus spectaculaire dans ma ptite tête de linotte chroniqueuse fut la millième… un gros nombre que mille ! ou un gros chiffre ?  il y a une différence importante entre nombre et chiffre, vous vous souvenez ce que c’est ? réponse ci-bas (ben oui on apprend, ou se rappelle – à tout âge)…

je me permets toujours de prendre du lousse dans les chroniques qui franchissent de gros caps nombreux… je deviens un peu foufou lorsque rendu aux tournants de cap.. ben, encore plus de lousse que d’habitude I mean, car je me donne pas mal toujours le lousse dont j’ai besoin pour espacer les mots dans mes chroniques… et ainsi faire de l’air dans ma tête, et peut-être aussi dans vos yeux, âmes et coeurs…

1101 chroniques et toujours rien dit qui vaille le chroniqueur… eh non, je ne sais toujours rien de plus que je n’ai jamais su… car on ne sait jamais vraiment rien vous et moi, quoi qu’on en dise ou pense… en fait on ne sait toujours rien… même Blaise Pascal le disait jadis…

«Les sciences ont deux extrémités qui se touchent. La première est la pure ignorance naturelle où se trouvent tous les hommes en naissant. L’autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu’ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d’où ils étaient partis; mais c’est une ignorance savante qui se connaît.»

~ Baise Pascal (1623-1662) ☞ cité par Karl Stern, dans LA TROISIÈME RÉVOLUTION: ESSAI SUR LA PSYCHANALYSE ET LA RELIGION (p.213) via Richard Chartier sur Facebook

ainsi tout ce que l’on pense savoir n’est que de l’air chaud, du vide, une grosse balloune pleine de rien… le poids de la connaissance est bien léger after all… et after eight…

et comme le disait aussi Ramana Maharishi (tiens il numérotait ses propos lui aussi…)

le but de la pratique est le délestage de l’ignorance et non l’acquisition de la réalisation… la réalisation est toujours présente, ici et maintenant…

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voilà peut-être pourquoi j’écries finalement… pour partager mon ignorance et ainsi la liquider, la dissoudre, la faire fondre… hot non ? qui sait ? pas moi en tous cas…

ainsi je n’en sais ni plus ni moins qu’au début de mon hobby de chroniqueur il y aura bientôt 4 ans… si la télé a Downtown Abbey, mes chroniques sont plutôt Floresta Hobby… des chroniques qui ne transmettent aucune connaissance nouvelle, que des mots qui jouent des tours à celui qui pense les écrire, et peut-être aussi à vous qui pensez les lire… car toujours que du vide ici, du rien, du lousse…

des chroniques qu’on ne comprend pas toujours, moi le premier… des chroniques qui ne font que faire le tour de ma tête… des mots tout le tour de la tête est d’ailleurs le nom d’une petite boîte de traduction et de rédaction que je compte d’ailleurs mettre en place bientôt, question de faire prendre plus de place à mon passe-temps hobbyesque… et peut-être gagner quelques sous à défaut de ne pas avoir gagné le gros lot de 1 milliard quelque millions $$$ iouesse… ni acheté de billet d’ailleurs…

alors chronique 1101, juste comme ça, encore une fois pour ne rien dire qui vaille, par un beau samedi matin du mois de janvier… ce mois de janvier où tout tourne au ralenti, du moins ici dans la forêt du ptit nord, ici dans le grand now… janvier tout blanc, propice au jetage de mots sur écran, nouvelle discipline aux prochains jeux atypiques de mots divers… jeux de mots, jus de mots… écrits liquides… janvier glacé…

janvier tout blanc, janvier tout lent… mois où tout le monde retourne à la vie ordinaire, après avoir trop mangé, trop dépensé et vu trop de parenté pendant quelques semaines … j’aime janvier car il ne se passe peu près rien, il ne se passe pas grand chose du moins, surtout pas d’eau sous les ponts…

il ne se passe presque rien en janvier, à part mourir peut-être… il semble que plusieurs noms connus du slow business aient choisis de cesser d’être incarné en ce janvier-ci… shilling sin carne…  farewell tout le monde, on vous rejoint bientôt…

parlant mort, avez-vous ce vidéo ? superbe…
https://www.nfb.ca/film/griefwalker

mais la mort, la mort, pas une raison pour s’empêcher d’écrire ça…

alors on y va pour un autre tour d’au moins 1101 chroniques ?

sioux ? I’ll write through…

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du site : http://www.jerevise.fr/difference-chiffre-nombre.html

Il n’ existe que dix chiffres: 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9.  Ce sont des signes , des symboles qui servent à écrire tous les nombres, comme les lettres de l’alphabet servent à écrire tous les mots du dictionnaire.

Les nombres représentent une quantité, une valeur et peuvent être écrits avec un ou plusieurs chiffres. L’ordre de lecture est important et on lit toujours de gauche à droite.

coffre aux trésors

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((( LES CHRONIQUES À BRAC ET ARDENTES )))  – QUATRE/VINGT-DIX-NEUVIÈME…

traduction : l’univers nous joue l’un des tours les plus vieux et les plus généreux qui soit en ayant enfoui en nous d’étranges joyaux, et en nous observant pour voir si on les découvrira un de ces jours… – Élisabeth Gilbert

nous sommes un coffre aux trésors sur deux pattes mes ami(e)s… des trésors ambulants… nous débordons de joyaux, de pierres précieuses, de cadeaux…

et pourtant…

nous cherchons le bonheur partout en dehors de soi, partout out there… nous faisons le tour du monde et même plus à la recherche du st-graal… nous cherchons l’amour dans un ou une autre personne… on cherche notre identité dans le regard des autres… on cherche la sécurité dans l’argent et les richesses extérieures, ou dans certaines croyances … on cherche l’appartenance divine et l’éternité dans la religion ou dans diverses pratiques spirituelles… eh qu’on cherche partout…

et pourtant…

nous portons en nous une multitude de trésors mais à force de regarder vers l’extérieur, nous sommes devenus aveugle à notre propre beauté, à notre propre brilliance…

et pourtant…

on a peur de cette beauté, on a peur de notre grandeur, on a peur de notre pouvoir…

mais pourquoi cette peur ?

est-ce que à cause de notre traditionnelle petitpaintitude issue de la tradition catholique chrétienne ?

est-ce qu à cause de la responsabilité qui découle de ce pouvoir ? car ce qui peut construire peut aussi détruire…

on va continuer à chercher car ça ne fait pas de sens… pas de sens en effet que l’on ne puisse voir en soi toute la beauté du monde… on le sent bien que c’est là, juste là, de l’autre côté de cette couche de peau…

d’un côté, on se sent insécure, tout petit(e) et insignifiant devant le gigantisme de l’univers…

et de l’autre, pour compenser cette petitude humaine, on se prend pour dieu et on porte un regard arrogant sur le monde environnant… teinté de croyances, de tentatives de contrôle…

un peu bicéphales nous, bibittes humaines…

et pendant ce temps-là, l’univers nous regarde et doit bien se moquer de nous, il doit rire dans son universelle barbe…

car nous sommes rempli(e)s à mort de trésors et de beauté et on continue de courir après la gloire, le pouvoir, la richesse partout dans le monde… sans compter  plusieurs hommes qui courent après leur queue…

mais la beauté du jeu est qu’avec les années, comme on court de moins en moins vite, on commence à réaliser que la course est folle, et inutile…

comme on ralentit la cadence avec la mollesse qui gagne nos jambes, vient un moment où l’on commence à se dire qu’il doit bien y avoir une autre course que la grande course horizontale à l’échelle du monde…

alors un moment donné, l’horizontalité se transforme en verticalité… l’extériorité se modifie en introspection… et la quête du trésor commence à prendre place en soi…

un moment donné, on entend comme quelque chose qui rit de nous et graduellement on allume et on se réveille… on soupçonne qu’on nous a joué un tour… et là on allume pour vrai, et on se met à fouiller à l’intérieur…

ah ! au début, évidemment, un peu décourageant… mais à force de voir, de trier et de scruter, le ménage se fait, le superflu disparait et la trésor se révèle… pas nécessairement avec éclat et fracas au début mais lentement, et sûrement et graduellement, l’éclat se révèle… la brilliance apparaît…

car ce n’est pas avec les yeux qu’on la voit cette beauté, pas avec nos deux ptits quenoeils que l’on perçoit cet éclat… en fait, peut-être que cette beauté réside dans notre coeur, et peut-être que cette beauté n’est qu’un filtre devant nos yeux…

suffit peut-être seulement de l’accepter, le vouloir et le réaliser pour le voir…et avoir la foi qu’un jour cette beauté nous sera révélée… car il ne  suffit pas de le croire pour le voir, il faut plutôt tourner notre regard vers l’intérieur et attendre, patiemment et avec confiance et ouverture de coeur…

et un jour peut-être… sûrement… car cela est inévitable… inévitable que ces trésors soient révélés… la beauté est irrépressible…