les dernières chroniques – 22/11/18
traduction : selon Rumi (ou quelqu’un d’autre), le fait de remercier pour l’abondance dans notre vie est plus important que cette même abondance…
alors faudrait remercier les bonnes personnes quand on rend grâce… surtout en cette journée de thanksgiving american…
de rien… en effet…
car on a trop souvent tout faux… on se croit chez-nous et on veut empêcher les gens qui nous nourrissent de venir s’y installer… pourtant…
faudrait clarifier les affaires dans notre tête et dans notre coeur… et ça nous concerne tous et toutes, nous les choyé(e)s de l’existence, pas seulement nos voisins d’en bas…
décidément, en tous cas, down south où c’est aujourd’hui la thanksgiving, pas d’un mur qu’ils auraient besoin (ou d’une armée en attendant) mais davantage d’un miroir géant… makes sense… that’s my kind of religious question…
réflexion en cette journée : bien sûr que l’on peut être reconnaissant(e) et appréciatif tant que soi-même, notre famille et nos proches sont sains et saufs, en sécurité, avec un toit, de la chaleur et de la nourriture, mais n’y a-t-il pas plus à faire ?
ne devrait-on pas être seulement satisfait(e) tant que chaque personne sur terre soit aussi choyé(e) que nous-même ? car une seule et même grande famille…
je sais je sais, exigeant et impossible à faire tout de suite… délicat équilibre entre apprécier ce qui est et vouloir le mieux pour le plus grand nombre…
alors on peut toujours prier… mais éclairantes ces paroles de Mère Térésa qui affirme que ce n’est pas nécessairement la prière qui change les choses, mais que la prière nous change nous-même, et que c’est ensuite à nous de changer les choses…
et avant que le monde entier soit heureux et en sécurité, important de commencer à apprécier les plus petites choses, genre chaque souffle de vie qui nous est accordé… chaque inspiration, chaque expiration… et l’espace entre les deux… jusqu’à preuve de la fin du courant d’air…
mais qui suis-je pour juger le monde qui m’entoure ? moi qui a mes propres biais…
alors, grandir jusqu’à devenir le monde entier ?
en terminant, malgré l’apparente folie du monde actuel, pas fou de garder un certain sens de l’humour…
car comme l’amour propre de Narcisse in charge down south, l’auto-appréciation et trop d’amour propre pourrait finir par se retourner contre soi…
dindon dindon…
allez, happy thanksgiving…
de rien…
Happy Thanksgiving américain, mon frère! J’appellerai Michel et Kelsie ce soir. Bisous, et en ore merci pour votre beau concert.
Mes vacances étaient super agréables. Je suis revenue avec une trentaine de piqûres de punaises de sable. Ça pique en pas pour rire… une première expérience de la sorte… jamais fini d’apprendre! X
Monique
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allo Mo…
heureux que les vacances aient été bonnes… malgré tes nouvelles expériences… vaut mieux avoir les bibittes sur le corps que dans la tête…
as-tu vu les photos du concert d’Alain ? super belles