panne chronique

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••• les zultimes chroniques – 22/1/19

ce matin, panne d’électricité pendant quelques heures ici en ce climat unipolaire…

c’est à ces moments précis que l’on apprécie le poêle à bois et les ronds au gaz…

car nous sommes si dépendants de l’électricité… nous sommes des électrautomates … c’est aussi en ces moments que ceux et celles qui ne pensent pas être accros aux divers gadgets technos doivent le réaliser… là que nous frappe… bye bye wifi, welcome constat

désolé pour la répétition de l’affiche du pingouin et l’extra terrestre mais je l’aime trop… comme c’est trop beau, trop bon… ce trop qui ne veut pas dire trop du tout, ce trop qui veut dire encore, plus…

donc en raison de la panne, en principe cette chronique ne devrait pas exister… le pourquoi du titre…

mais parce que j’aime trop écrire, j’ai prêté le Ipad à petite Lili qui est restée à la maison un peu gripette et je triche… je grapille un ptit 10-15 minutes à mon horaire pour vous écrire ces quelques mots… car j’aime trop écrire, alors j’écris quand même… j’écris en cachette… j’écris ces quelques mots de trop sur le pouce… j’écris mon appréciation du courant électrique qui fait passer ce courant universel entre nous…

alors quelques mots frettes nets secs en direct de la bipolarité… cette bipolarité que nous partageons nous gens du Nord… on se plaint du chaud en été, et du froid en hiver… mais on ne se plaint jamais des verts du printemps et des couleurs de feu de l’automne… nos deux saisons tempérés et in between…

quand l’électricité flanche ici dans le Nord en hiver, on ne perd pas le Nord, on gagne le Now…

quand le power nous lâche, tout change, tout devient immédiat, tout devient crucial… chaque petit acquis est remis en question… un simple petit pipi-caca prend une autre tournure quand l’eau ne se rend pas à la maison et qu’on ne peut flusher

on réalise l’importance de l’électricité quand on chauffe à la plinthe et que le courant lâche à moins 25…

toute panne d’électricité nous révèle l’ampleur de notre dépendance envers le courant… principalement hydroélectrique, mais aussi de plus en plus solaire et éolien… définitivement, nous sommes tous branchés…

les petites crises énergétiques nous renvoient à nous-même comme rien d’autre ne peut le faire…

ces pannes, on les subit et on peste ou on les utilise pour revenir à la base, back to basics comme disent les habitants du Pôle Nord… en passant, est-ce que les habitants du Pôle Sud parlent espagnols down there en Argentine ? ça sonnerait drôle me semble…

OK panne d’inspiration car le devoir m’appelle…

allez bonne journée, et tout comme nous ici ce matin, remercions notre compagnie d’électricité de nous sauver la vie à chaque jour…

vroum vroum…

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