••• les zultimes chroniques – 18/3/19
traduction : le monde est prêt pour une révolution mystique, la découverte de Dieu en chacun(e) de nous… – Georges Harrison
il a toujours été mon Beatles préféré ce dear George… sais pas pourquoi, mais probablement à cause de ce genre de commentaire probablement…
probablement aussi lui qui a amené ses 3 comparses en Inde jadis…
oui le monde est prêt pour une révolution mystique, car le monde est rendu tellement fou out there que la seule voie d’échappement à la folie et au non-sens réside en nous, à l’intérieur… pas un intérieur les yeux fermés pour ne pas voir le dehors…
un regard intérieur pour trouver Dieu – ou le secret, le mystère, le trésor, si vous préférez – et qui nous permettra éventuellement de contribuer à changer le monde justement…
on retrouve du mieux et du pire dans le monde en ce moment… du moins d’après ce que certains médias nous en rapportent car notre perception du monde matériel est si limitée…
des attaques mortelles et de la haine en série sur les réseaux sociaux d’un côté, et des marches d’étudiant(e)s pour le climat et de multiples découvertes ingénieuses de l’autre bord…
du noir en masse, et du blanc aussi… des milliers de tons de gris la vie…
mais si on cherche en dehors de soi, on n’a pas fini de chercher…
plus simple de r’tourner son regard de bord…
bien sûr qu’on vit dans le monde, on fait partie du monde, on est du monde…
en passant quel beau terme que celui de monde…
le monde, notamment celui dans lequel on vit, celui qui s’agite à l’extérieur de soi, la somme de chacune des personnes qui le compose, la boule sur laquelle on tourne, la nature, les animaux et tout ce qui y vit…
comme le monde, qui comprend justement chaque personne, chaque être humain, chaque individu… comme dans enwèye le monde, prenons-nous en main…
mais un autre monde vit en soi, une cosmologie autre… en soi se trouve une porte vers un autre monde, un monde qui s’ouvre quand on ferme nos yeux, quand on s’introspecte, quand on plonge en soi…
la vie mystique est un mystère mais c’est celle qui semble faire le plus de sens si on cherche quelque chose… pour commencer la quête du moins… car la voie intérieure débouche anyway vers le monde et vers nos concitoyen(ne)s… nous ne sommes pas une fin en soi… qu’un début vers le reste du monde…
mais avant de fouiller le grand monde, il faut avoir le courage de plonger en soi, de fouiller, et d’y rester quand on tombe sur du beurk et du gris foncé… se scruter l’intérieur, être avec soi, découvrir notre propre grandeur…
car nous sommes le monde…
salut le monde…