••• les zultimes chroniques – 23/1/19
et moi je n’écris pas de Tanger 😉 alors que la température n’est pas clémente ici 😉
ces jours-ci, soit pendant ma pause zéro rézo socio hohoho, alors que je n’utilise pas FB ni pour poster de liens vers ces chroniques ni pour rien d’ailleurs, j’écris à et pour moins de gens, pour moins de gens, à un nombre réduit d’entre vous…
en fait j’écris à et pour très peu d’entre vous… je vous écris presque un(e) par un(e)… et j’aime ça… je me sens plus libre, plus incité à écrire par en dedans, plus intime, plus près de moi… et de vous du coup…
j’écris à et pour mes deux plus éloignées ami(e)s et lecteurs/trices (d’où le clin d’oeil photo pas vraiment rapport car rien à voir avec le mandarin où vous êtes mais quand même pas si loin 😉 Prashanti en voyage au Myanmar et à mon chum Yusuf en Thaïlande…
j’écris à et pour Ibonoco, Christophe et Angelilie que je ne connais pas en chair ni des eaux mais qui me font signe régulièrement en cliquant le bouton aimer…
j’écris à et pour Samano et Marcel à Laval, à et pour Ravi à Drummondville, à et pour Trishna au BC, à et pour Paripurna à SADL, mes plus réguliers lecteurs/trices et vieux ami(e)s… de longue date I mean… à et pour ma soeur Momo aussi… à et pour mon brodeur Blissi quand je lui refile perso comme ce matin…
j’écris à et pour ma belle qui partage mon quotidien, mais souvent comme je la trouve tellement occupée et que je crois qu’elle n’a pas le temps de me lire, je n’ose pas toujours lui envoyer mes chroniques… mais parfois, comme aujourd’hui car l’école du village est fermée, je le fais… enjoy belle !
j’écris aussi à et pour Manon, Florence, Carmen, Lorraine, Jojo, Jocelyne, Lokita, Katmanda (je sais qu’ils/elles me lisent car ils/elles postent parfois des commentaires)…
et j’écris à et pour d’autres également, à et pour d’autres que je ne connais pas nécessairement mais peut-être que si aussi, au Brésil, aux États-Unis, au Mexique, en Corée du Sud, à Taiwan, en Algérie, à Hong Kong, au Japon, en Afrique du Sud, au Cameroun et au Gabon, en Roumanie, en Croatie, en France, en Belgique et en Suisse… je le sais car WordPress me le dit et me l’affiche sur une carte du monde…
je vous sais là-bas pendant que moi ici et ça me réjouit… je vous imagine, je vous pense là… pendant que moi ici, qu’ici, et pourtant, nulle part et partout à la fois…
écrire à nombre réduit, c’est comme si je me livrais à moins de gens d’un coup, mais seulement à des gens qui veulent vraiment me lire puisque sinon vous ne le feriez pas… vous avez dû faire un petit effort pour vous abonner à ce blogue alors j’imagine que ces écrits un peu fous fous et tiguidoux vous importent…
en fait vous êtes si peu nombreux que je sais presque par coeur qui vous êtes…
tandis que lorsque je poste les liens de ces chroniques sur FB, des curieux/ses peuvent venir fouiner, un peu par curiosité, un peu par hasard… même si certain(e)s semblent si certain(e)s que le hasard n’existe pas… moi je n’en sais rien, et vous, vous l’avez rencontré le hasard ?
parfois, dans ma ptite tête de pinotte, j’aimerais avoir un lectorat important et gagner ma vie à seulement écrire… être un blogueur professionnel… et quand je redescend sur terre, je me dis que finalement non, je ne veux pas écrire quantitativement, j’aime bien écrire quali… une lettre, un mot, une chronique à la fois, un(e) lecteur/trice à la fois… avec foi et persévérance, par amour pur de l’écriture…
écrire à petite échelle, sans filet, écrire en n’ayant rien à vendre… alors
simplement écrire pour écrire, pour dire, rien ou un ptit quelque chose de tout humble, tout simple… dire et taper tout bonnement mon petit boniment…
et j’aime écrire pour me poser des questions tout haut, fort, les partager avec vous, pour questionner la vie, ensemble, chacun chacune de notre côté…
j’aime quand vous me lisez en silence… j’aime aussi quand vous postez un commentaire… mais jamais je ne m’attends à rien de vous, cet espace est libre d’attente et de pression… ce blogue existe seulement parce que la vie le veut…
temporairement, pour ce bref espace-temps car un jour, pouf et nous disparaitrons… vous ou moi, vous et moi…
mais pour le moment, que pur plaisir de savoir vos yeux lire ces mots, doux feeling de vous savoir ici, là, là-bas, nulle part, ou ailleurs…
♥ ♥ ♥
Ati, tu es comme le boulanger qui prépare du bon pain prêt à déguster au lever des lecteurs, Bonne journée ✨💫😁🎶🎶🎶
✨ I buy from Ati ✨
merci mais I give so nothing to buy 😉
hi hi! Ça chatouille des mots comme ça! C’est tout doux!
guili guili
Quand je prends le temps d’ouvrir ton envoi et de le lire, que ce soit le matin, le soir ou dans la journée, cela me fait toujours du bien. C’est pour ça que je reste abonnée. Alors merci pour ce cadeau quotidien.
mon plaisir Paule
Belle réflexion, comme un miroir. Quand je post mes chroniques sur Face de Bouc, j’ai plus d’attentes, même d’espérance d’être lue par un plus grand nombre. Or, lorsque je laisse couler le sang de moi jusqu’à ma plume virtuelle et que je vais dans l’intime, je suis plus réservée et je me réserve à quelques personnes. Bref, ça résonne, ding, ding, dong!!!
écrire avec son sang belle image… ding dong !
Je crois que cette image nous vient du temps où l’on écrivait avec de l’encre. Je suis restée avec un malaise avec mon post d’hier, par conséquent, je me ravise le concernant, je me suis fait plus humble que je ne le suis réellement, j’ai souvent écrit que l’intime et l’universel sont liés. Ainsi, même lorsque l’intime coule de source, c’est tout de même un large auditoire universel qui est visé. Voilà!
en tous cas si le malaise avait rapport à moi, pas de problème du tout de mon côté, ça a été bien saisi…
j’écris pas beaucoup,je publie plus mes compositions car il n’y a pas besoin de paroles pour voir,mais chacun a son style de blog où certains on doit lire et certains on doit voir…
et c’est certain que certains on doit entendre… connectés
belles photos en passant… on se connait ?
Merci… je suis au Vietnam 🇻🇳 pour quelques jours
… Je te lis en effet! 😎
ah c’est toi ça 😉 me semblait aussi… 10-4 reçu
Merci de partager tes pensées🙏♥️
tchin tchin
et bientôt depuis le Brésil, je lirai tes chroniques…
peut-être WorldPress te l’indiquera???? see you au pays de Mestre
sioux in Sorocabataçao
Une lettre , un mot et te revoilà.
Fidèles nous sommes.
Au delà des continents.
Si loin et tout près à la fois.
Merci !