♥♥♥ – 6/5/2020 (2)
l’amour au temps du Corona / quarantaine sur la voie de sortie ?
traduction: vous devriez toujours garder une certaine distance entre vous et les phénomènes que vous percevez.. lorsque vous prenez conscience de votre «capacité d’observation» davantage que du monde extérieur, vous êtes alors subtilement passé(e) de l’autre côté… Mooji
du jus dans l’clavier, dans les doigts et dans l’popotin aujourd’hui le chroniqueur, alors hop ! une deuxième chronique quotidienne… avant d’aller jouer coté jardin… et forêt…
c’est qu’après avoir été témoin d’un grand courant de recherches extérieures à soi chez plusieurs de mes ami(e)s FB afin d’identifier autant les causes de la situation actuelle que les responsables et leurs potentielles intentions et manipulations – faites vos propres recherches qu’on nous dit – il me semble que le balancier doit revenir par en d’dans…
car trop grand et complexe le monde out there, trop de peut-être, et trop nombreuses les possibilités de causes et de scénarios à l’extérieur de soi… et nous trop loin de tout ça, trop confiné à soi-même et à nos regards et émotions…
me semble qu’on va finir par se perdre dans cette quête extérieure si on ne fait que chercher à l’extérieur de soi… out there… ou ne trouver que matière à réflexion déconnectée de soi… fondée sur du peut-être, des il paraitrait que et divers vidéos Youtube à voir absolument avant qu’on ne les retire…
cette quête extérieure qui ne satisfera jamais notre soif profonde… notre soif ultime… notre quête fondamentale… ce besoin inné de sécurité et de liberté… en ces temps d’incertitude totale dans le monde des humain(e)s…
car me semble que l’objet recherché est dans le sujet… le monde extérieur est en soi… ou du moins qu’une réflection de ce petit soi séparé du grand tout ça…
en soie ce soi… alors tout doux sur nos certitudes et sur nos opinions sur les autres… car un peu toujours que nous-même face à nous-même…
avant de se pencher sur le monde, identifions nos filtres de regard… car le monde extérieur n’existe pas à l’état brut… que notre regard que nous lui faisons porter… et notre regard est obstrué…
ce qui nous empêche de voir clairement…
1- mes propres insécurités projetées sur les autres
2- le désir de préserver mes plans tels qu’ils étaient
3- mon attachement au passé
4- mes croyances limitatives…
5- mon besoin d’être confirmé
6- ma peur de l’incertitude
et pour crémer ces quelques mots, notre cher Eckhart à ce sujet… une valeur sûre en ces temps incertains…