
♥♥♥ – 4/9/2020
l’amour au temps du Corona… déconfinement automnal à définir…
traduction: «éteins» ton téléphone, assis-toi, observe ta respiration, et tu découvriras tous les appels manqués et les messages non-lus en provenance de l’Univers…
ai refait quelques trempettes sur FB et les médias depuis une semaine… même game qu’au début de l’été really… les deux bords se font aller les arguments et la game de ping-pong continue de prendre place… j’y décèle autant de peur, de méfiance et de suspicion tout le tour de la terre…
sans parler de la certitude aveugle de certain(e)s… maudit que certaines personnes semblent certaines de leurs sources… sans même jamais les avoir vues ni connues… encore moins vérifié car comment vérifier des sources out there ? pas mon genre de source anyway… moi je cherche the main source…
moi aucune certitude… que du doute tout le tour de la tête et un vague désintérêt face aux choses du monde… car pas vraiment mon monde que celui représenté dans les médias… trop petit et bas monde alors que le vrai est si grand et haut… ohé ohé ohé… oui beaucoup plus envie de chanter que de penser…
et je me rends compte – encore – que ce que l’on voit dans nos écrans ne reflète qu’une bien infime et biaisée vision de la réalité avec un tout petit r… et pas tout à fait réel non plus me semble…
et en plus, les nouveaux dieux, grands seigneurs algorythmiens du monde invisible de la grande lampe magique, sont ceux qui déterminent ce qu’on va voir… notre vision du monde est dorénavant influencée par ce que l’on a déjà regardé auparavant… alors plus ça change, plus ça va être pareil… simple question de calculs algorythmiques… vive le progrès !
davantage envie de surprises et d’innatendu dans ma vie pour ma part… envie de mystère, envie de vrai stuff car pas mal tanné des algorythmes et des bits… qu’elles soient techno, Timbits ou celles des mâles qui ont tant manqué de respect envers les femmes du monde depuis des siècles…
pourtant, pendant qu’on patauge dans les pourriels virtuels, notre boîte courriel existentielle est pleine de messages non-lus, ni même suspectés… et pourtant si importants… et pendant qu’on s’inquiète des plans et complots des gros méchants de ce monde, la vie nous passe sous le radar… right here, en nous… et up there, partout…
on continue de regarder le reality show se dérouler en dehors de soi, cherchant les indices du grand plan machiavélique, et on met de côté nos besoins essentiels, notre soif de plénitude… notre toute simple humanité et celle de nos semblables qui vivent pour de vrai juste ici autour de nous… la vraie quête…
certain(e)s ont peur des puces que pourraient contenir les fameux vaccins à venir et qu’on nous imposera de gré ou de force… me semble qu’on a déjà le cellulaire plein de puces et de tics et que même s’ils n’ont pas de fil, ces bidules nous attachent et nous rattachent à une foule d’information tout aussi abondante qu’inutile et insignifiante…
sincèrement, les tweets du gros twit en charge du grand irreality show, de la nourriture essentielle pour l’esprit ? really ? divertissant peut-être mais justement, là le problème, car the show qui must go on nous écarte de nous-même, nous vole notre propre regard sur soi et l’écoute de ce qui compte vraiment… on se laisse pogner dans le grand cirque médiatique… avec notre propre consentement… et pendant ce temps-là, on se méfie d’un peut tout…
nous nous noyons quotidiennement dans une mer d’information pas mal futile finalement… univers médiatique… et tac… du toc en fait…
et pendant ce temps-là, sur la bonne vieille ligne, la vraie vie se passe sur le téléphone à roulette russe… la grosse vie pleine, la vraie vie juteuse et réelle qui nous relie à notre coeur, à notre âme, à notre esprit… sans fil… là d’où on vient, là où on retournera… et à nos proches, nos frères et soeurs de coeur…
grande famille pourtant si divisée en ce moment, pendant que les glands de ce monde concoctent apparemment leur complote de pommes… allez savoir… back à Adam et Éve…
mais pour l’essentiel, faut se fermer les yeux et le cell. et retourner on the line… que ce soit avec Djisus, Allah ou le Dalai Lama… l’idée étant d’avoir du fun… et de mordre dans la vraie pomme…
Tellement Namaste!
Je vous aime!-)
Médiatique et mais dit « attaque »
et c’est du toc;
oui.
Rouspéter est bien parfois.
Péter une balloune quand on parle d’égos.
Péter la balloune quand on boit d’la bière.
Péter est juste un vent
et « the answer is blowing in the wind ».
Quoique (jamais « mais ») péter le feu
est, euh, flamboyant
et digne d’une étoile feelante.
J’aime lire Ati Supino
parcqu’il insinue la Vérité.
Je doute de son doute
car c’est mon ami.
héhé
La joke est plus belle à vivre
qu’à déchiffrer.
Pas de doute avec tout’
(Y’a rien là sinon plein d’amour
et un peu de témoin.)
Tout’ est dans tout’
et voilà Mahamudra
le principle est unique dans son essence
et multiple dans sa manifestation.
Plop!
pas « principle », plutôt « principe »
et « Plop » peut être « Stop! »
(in the name of love, before you break my heart.)