les dernières chroniques – 30/12/17
rien à faire, j’aime écrire…
mais rien à faire, j’écris pour rien…
j’écris ces mots, qui ne riment à rien, et qui ne mènent nulle part…
nulle part ailleurs qu’ici, maintenant… tout le temps maintenant, encore et encore… en ce moment et pour l’éternité…
j’écris comme je respire, en fait ça écrit comme ça respire… ça se fait tout seul…
il serait plus difficile de ne pas écrire qu’il est facile d’écrire…
écrire des chroniques, des poèmes, des mots sans queue ni tête, mais avec tout le coeur qui bat en moi et que je peux y mettre…
écrire pour faire quelque chose car au fond rien à faire après que tout ait été fait…
ou écrire et penser faire quelque chose…
quand au fond, on ne peut rien faire d’autre qu’être…
alors regardons passer le temps car rien n’y fera…
ouf c’est long ça rien à faire
écrire est toujours un plaisir, écrire sans réfléchir, parce qu’on aime les mots…
Tic Tac….
Silence .
C’est bon.
Dans les conditions décrites, écrire est effectivement un souffle de vie. On ne se pose aucune question sur l’utilité de notre respiration, on respire, voilà tout. Continuez d’écrire, simplement, sans vous questionner sur une possible utilité. Vos mots vivent par eux-mêmes. Vous créez donc de la vie quelque part.
merci pour vos bene dictions… bons mots…
Le problême lorsqu’on s’occupe à ne faire strictement rien c’est qu’on ne sait jamais quand on a fini.
on continue alors… et ce pour l’éternité 😉