••• les zultimes chroniques – 22/9/19
traduction: peu importe ce que vous entendez à-propos de moi, croyez-le… je n’ai plus le temps de m’expliquer… vous pouvez même en rajouter si vous voulez…
comme vous peut-être, possiblement ou probablement, ce chroniqueur est pas mal habitué à entendre toutes de sortes de choses à-propos de lui… on ne peut arrêter les quand-dira-t-on… mais avec les années qui passent, on apprend à laisser les choses non essentielles… on limite notre focus…
et comme les canards, on apprend à laisser passer les commentaires telle l’eau sur leurs plumes… coin coin… avec l’âge, on apprend à laisser passer les propos des connards…
mais ces temps-ci, on dit des faussetés non pas à mon propre petit propos, mais au sujet d’un groupe dont je fais partie…
vraiment du n’importe quoi… et à grande échelle à part de ça… les gens qui ne savent rien de nos activités seront flabbergastés et choqués s’ils/elles se fient à ce qu’ils/elles voient à la tivi… c’est que ce que l’on rapporte est vraiment gros, et loin de la beaucoup plus ordinaire réalité telle que vécue par nous… je vous épargne les détails… pour le moment…
bien sûr, c’est dans une émission de fiction que l’on nous caricature… alors il faut en prendre et surtout en laisser beaucoup beaucoup… sauf que ce que l’on colporte à notre sujet pourrait avoir des conséquences réelles sur la suite des choses car notre situation est socialement délicate…
d’un côté, nous nous disons que nous devrions laisser passer les choses et que le monde finira bien par oublier…
mais de l’autre, même si les choses passent et passeront et finissent toujours par passer, elles laissent parfois et laisseront sûrement des traces… et tout ce dont les gens se souviendront sera ce qu’ils ont vu dans la dite émission… et ils et elles, même s’ils et elles ne devraient pas nécessairement, ils et elles sont nombreux à croire ce qu’ils et elles voient à la tivi… real fake news… ou une autre fiction…
alors, en ce moment, en ce léger dilemne, on se demande si on répond ou si on laisse passer le vent du moment… on surfe sur la vague ou on fait le canard ?
pour le moment, on prépare une réponse au cas où… pour rectifier les faits, pour informer, pour préciser, pour jouer transparent… mais de nos jours avec la folie diffusionnelle des égouts sociaux, on ne sait pas dans quel engrenage on risque de se faire prendre une fois qu’on a pesé sur send…
ces temps-ci, les infos sont follement contagieuses et partent en tous sens… et bougent vite… tout en attirant des réactions virulentes, fausses et carrément vicieuses… alors jouer dans ce jeu ? pas certain… vivre incognito a ses propres beautés…
alors petite pause avant de décider de la suite… sur le neutre… pour le moment…
comme on dit parlez-en en bien ou parlez-en en mal, mais parlez-en…
vraiment ?
moi je n’ai pas du tout envie qu’on parle de moi, encore moins de nous…
car vivre et laisser vivre est un si beau dicton…
coin coin…