••• les zultimes chroniques – 28/9/19
wow il y avait du monde à la messe en ville hier… touchant de voir cette marée humaine… espérons que la vague continue de rouler et provoque des effets concrets…
mais ce matin, pas de la parade d’hier que j’ai envie de vous parler…
ce matin, envie de brasser votre cage un peu… comme la mienne a été brassée en lisant ce texte ci-bas, qu’il soit fondé ou pas… je n’en sais rien… en fait comme l’impression qu’on ne sait plus rien de rien avec certitude… tout nous est servi via une médiatisation médiatique plus ou moins tordue, toujours en fonction de ce que l’on veut passer comme info, de ce que l’on veut entendre comme vérité…
en fait, ce matin, je vous présente 3 textes différents, pour opposer des idées, pour mettre face à face des interprétations différentes du même phénomène, celui de Greta… que j’aime bien en passant… mais me demandant souvent pourquoi – et comment surtout – en un an elle est devenue LA porte parole d’un mouvement planétaire… Avatar !
je ne sais pas ce qui est vrai, ce qui est fondé… que différentes perceptions, que différents points de vue…
personnellement, je n’ai pas de préférences, je considère ces 3 points de vue et me dit que LA réalité n’existe pas, qu’il n’y a que différentes réalités, différentes préférences de pensée, différentes perceptions et choix…
alors un peu plus long que d’habitude ce matin, et surtout les mots des autres…
si le coeur vous en dit, trois sources de lecture différentielle… mais attention, le premier texte risque de vous déranger… je vous aurai averti…
je vous met ci-bas et les textes intégraux, et les liens…
et faites-vous votre propre tête… bonne lecture, et réflexion…
http://www.brujitafr.fr/2019/09/greta-thunberg.html
Le joker est utilisé ! La sensibilisation auprès de la jeunesse et de ceux qui sont fragiles concernant le réchauffement climatique et le carbone marche à merveille.
Si on s’oppose ou si on conteste la crédibilité de l’instrument des élites qu’est Greta Thunberg alors on devient jaloux, inconscient, conspirationniste, négationniste, pessimiste, raciste envers les handicapés et la jeunesse de demain, méprisant envers l’écologie etc…
L’opposition contrôlée fait des merveilles à l’heure où la manipulation émotionnelle est la plus forte auprès de la population.
La question essentielle à se poser lorsque ce genre d’évènements se produisent est : À qui cela profite-t-il ?
Comment une si jeune militante pour le climat a-t-elle pu gravir les échelons avec autant de facilités et rentrer dans le monde politique et théâtral des puissants de ce monde (Junker, Obama, Vatican etc…) ? Les gens répondent : parce qu’elle est percutante dans ses propos et qu’elle a raison !
Là n’est pas la question, il y a des milliers de gens qui ont des informations clés en main qui remettraient totalement en question les fondations de ce système mais pourtant ils ne sont pas écoutés : mesdames et messieurs, bienvenue dans le monde du divertissement émotionnel et de l’opposition contrôlée où les esprits faibles de connaissances de ce monde occulte mordent à l’hameçon.
Leur but n’est pas de détruire ce système mais de l’entretenir et de le transformer grâce au consentement de la population qui est l’acteur majeur de cette mutation : Le monde politique est recyclé en permanence, les postes changent mais ce sont les mêmes, donnant l’illusion de prises d’initiatives évolutives.
On va se rabattre sur le carbone et sur le climat car ça permet de continuer tout ce qu’on peut faire à côté dans l’ombre sans que ça soit trop dérangeant, on peut ainsi justifier toutes les oppositions d’une population qui prend conscience qu’elle est prise pour du bétail et pour de la marchandise (les animaux inclus), pas besoin d’être vegan ou de porter une étiquette sur le front collée par de savants bien pensants pour dire ça !
Y’a du taf… beaucoup de taf ! GRETA
Nous voici dans une phase globale où tous les faux prophètes vont apparaître au grand jour et se faire passer pour de doux bergers, dans tous les domaines. Voilà pourquoi il est très important plus que jamais de reprendre sa propre souveraineté et d’écouter ce qui est juste dans ce que l’on s’apprête à traverser car la confusion peut être énorme.
Le Glyphosate devient un mythe, les chemtrails aussi, la 5G, les vaccins, le marché mondial complètement corrompu, les réseaux d’influences politiques et économiques aussi maintenant stop, focalisons nous sur le carbone et le réchauffement climatique, battons nous pour ces taxes, vive la république et vive la France ! (Ironie extrême ^^)
Greta n’est pas la cible à abattre, elle est l’outil pour que ceux qui sont derrière elle puissent proliférer leurs agendas du 21ème siècle. Elle a été conditionnée pour et sert d’arme de sensibilisation contrôlée.
Note que son personnage est quasi inattaquable grâce à son handicap sensibilisant ainsi que ses discours bien travaillés (ceux qui ont fait du théâtre ou du cinéma savent de quoi il est question).
Restons serein malgré tout, il va y avoir du spectacle !
Antoine
texte d’André Riou (sur FB)
Greta, entre fascination et répulsion
« Greta n’est qu’une gamine. Qu’est-ce qu’une enfant de 16 ans connaît à l’écologie ? Quelles études a-t-elle suivi ? Quelle est son expérience. Elle est manipulée c’est évident ! De plus, elle est autiste ! » dénoncent les uns
« Greta ? C’est l’avenir du monde ! Elle nous alerte là où les politiques ne font que multiplier de belles paroles creuses et vides ! » prophétisent les autres
Ainsi, une jeune activiste inconnue il y a quelques mois (et pour cause vu son jeune âge) fait la Une de la presse, s’impose dans les rassemblements internationaux et parlemente avec les chefs d’état pour porter en mots simples un message sur une écologie qui devient plus populaire que jamais. Coup de pub pour les uns, révélation pour les autres. Certes, son verbe est spontané, elle dénote par son jeune âge d’une grande force d’engagement, mais pourquoi provoque t’elle autant de controverses, pourquoi son sourire en biais nous fait il tant grincer des dents ?
Qu’il s’agisse de Greta Thunberg, de Bernard Henri Lévy, de Coluche ou de Donald Trump certaines personnalités ne laissent pas indifférent. Ce n’est jamais un individu qui nous dérange ou nous fascine, mais ce qu’il vient remettre en question en nous à partir de ce que nous projetons sur lui. C’est ce qu’on appelle l’effet miroir « On existe à travers le regard des autres ». Disait Roland Barthes. Ce qui nous gêne n’appartient pas à l’autre qui n’est qu’un miroir de nous-même mais à notre ombre refoulée.
Etre de cœur ou pantin manipulé ?
Pour les chamans, l’être humain s’exprime, choisit et vibre à partir de trois intelligences.
La première est l’intelligence vitale. C’est l’intelligence qu’utilisent tous les animaux pour assurer leur survie, réguler les espèces, planifier les migrations, organiser les chasses, la nidification, la cohabitation avec les autres espèces. L’intelligence vitale nous aide à nous orienter en forêt, à reconnaître un prédateur, à vivre en harmonie avec l’environnement.
La seconde intelligence est l’intelligence du cœur. Ce centre vital situé au niveau de la poitrine régule notre relation aux autres. Qu’il s’agisse d’humains ou d’animaux, certains individus utilisent cette intelligence comme le premier levier, d’autres l’ont verrouillé au point de douter de son utilité. Chaque intelligence s’entretient tel un muscle.
La troisième intelligence est l’intelligence cérébrale. Elle est nécessaire pour résoudre des équations, pour élaborer une perspective, aborder des sujets complexes, intégrer des données paradoxales notamment en tentant de se projeter dans un futur hypothétique.
Ainsi, un Orang Outang va défendre sa forêt en s’appuyant sur son intelligence vitale, un promoteur va raser les arbres en calculant le prix de revient à l’hectare ; c’est l’intelligence cérébrale et un poète va écrire une ode à la nature même s’il habite en ville et ne sait reconnaître un érable d’un bouleau. Il s’appuie sur sa seconde intelligence celle du cœur. Le cœur a ses raisons que la raison ignore.
Majoritairement, nos sociétés industrielles sont dominées par notre troisième intelligence. L’intelligence cérébrale. Le système scolaire considère l’enfant comme un vase vide qu’il faut remplir de connaissances acceptées par le plus grand nombre.
Aujourd’hui, notre société moderne est gouvernée principalement par un régime hydrocéphale et schizophrène. Hydrocéphale car on ne reconnaît plus l’émotion ni le cœur comme un indicateur d’intelligence, notamment quand il est question de politique ou d’économie, schizophrène car on lutte contre ses deux intelligences pour n’en garder qu’une.
Dans nos assemblées, les deux premières intelligences participent peu aux échanges. Les débats parlementaires durent des heures, s’opposent à coup d’amendements et d’arguments dont le citoyen commun devient incapable de mesurer la pertinence. Une assemblée qui chercherait le consensus commencerait par méditer en silence en forêt avant de prendre une décision concernant l’écologie. Un député commencerait par regarder un veau dans les yeux avant de s’engager dans une réforme sur le bien être animal.
Il est politiquement acceptable mais humainement insupportable qu’autant de migrants soient rejetés à la mer, que que l’on tue en France un milliard d’animaux par an pour se nourrir ou que l’on ait détruit 40 % de la faune sous marine et 90 % de lombrics en à peine 40 ans.
Dans les organes de décision des peuples premiers, on écoute les sages car leur points de vue intègre autant l’intelligence du cœur, l’intelligence vitale que l’intelligence cérébrale. Le point de vue d’un enfant, celui d’un vieillard a autant d’importance que celui d’un adulte car l’être humain n’est pas défini à partir de sa réussite sociale mais à partir de sa présence sur la terre. Ainsi, avant de prendre une décision, on établit le contact de coeur à coeur et d’âme à âme entre chacun pour être sûr que les décisions soient justes et intègrent la trinité.
Le cœur a-t-il sa place dans l’écologie ?
Qu’il s’agisse de la fonte des glaces, de la crise des migrants ou des gilets jaunes, quelle place donner au cœur dans un débat politique, écologique ou philosophique surtout lorsque celui qui est sensible est considéré comme incapable d’administrer ?
Imaginons qu’un enfant échappe à la surveillance de ses parents et tombe dans le lit d’une rivière.
Une jeune maman le voit et se met à hurler pour attirer l’attention d’un passant.
Le passant se jette à l’eau pour sauver l’enfant, même s’il sait à peine nager.
Un troisième témoin observe la scène, mesure La vitesse du courant, le poids du corps et la probabilité qu’il atteigne le barrage avant l’arrivée des pompiers qu’il appelle de son téléphone portable.
Si le premier témoin n’avait pas hurlé son émotion, le second ne se serait pas jeté à l’eau et le troisième n’aurait pas appelé les pompiers. L’enfant se serait noyé.
Dans la situation écologique dramatique que nous vivons, assez rares sont ceux capables à la fois d’exprimer sincèrement leur émotion, de se jeter à l’eau et de mesurer la vitesse du courant.
C’est justement l’apprentissage du chaman que de réguler ces trois intelligences en lui pour devenir un être complet. C’est l’apprentissage de toute une vie que de réguler ses trois centres. En fonction des événements, une intelligence prend le dessus sur les deux autres.
Ainsi, qu’il s’agisse des exploitations minières abusives dans les montagnes de Mongolie, de la destruction des forêts Amazoniennes, Ou de la pollution des océans, autant de chamans réalisent des rituels de protection, que font physiquement barrage sur les chantiers ou négocient désormais à l’ONU. Car le chaman cherche en lui la trinité. Il a compris qu’un peuple divisé est avant tout un peuple où chacun est divisé dans son cœur, son corps et son esprit. Voilà pourquoi Greta ne gêne pas plus le chaman qu’il n’est fasciné par elle. Il observe le syndrome. Elle n’est que le reflet d’une partie de lui-même. Greta, ou une autre.
La folie du monde est à l’image de notre propre folie. Parfois des lanceurs d’alerte dénoncent les feux dans la forêt d’Amazonie, la cruauté contre les animaux dans les abattoirs ou la destruction massive des forêts et des océans. Ils sont essentiels au fonctionnement d’une société. Parce qu’ils suivent leur coeur, là où les politiques ne sont que intellect. ils encouragent la désobéissance civile, car la tête est devenue folle et l’être a perdu sa tendresse.
Pourquoi Greta gêne certains et fascine d’autres ?
Pour le chaman, lorsqu’une personne nous gêne ou au contraire nous fascine, plutôt que de la critiquer ou de l’admirer, c’est une occasion d’observer ce qui se passe en nous.
Ce n’est pas Greta qui gêne ou fascine mais ce qu’elle reflète de notre personnalité.
Lorsque nous sommes gêné ou fasciné par Greta, c’est pour l’une de ces trois raisons :
– Elle incarne une posture que nous réprimons
– Elle nous ressemble
– Elle nous rappelle quelqu’un
Ainsi, celui qui réprime ses émotions, se laisse gouverner par sa tête ne supportera pas cette adolescente insoumise qui appuie toute sa communication sur la charge émotionnelle quitte à manquer d’arguments techniques
Celui qui respecte les codes, les conventions, les obligations et les lois, quitte à se priver lui-même, ne supportera pas les activistes de L214, les Femen ou Sea Shepard, à moins au contraire qu’il ne soit fasciné par ces rebelle qui cassent les codes que lui subit.
Ce processus de l’effet miroir est la base de toute relation psychologique. Ainsi si tu veux faire la paix avec chacun, fais la paix avec toutes les parties de toi.
Les chamans ont apaisé leur trinité. Ils ont su conserver leur coeur d’enfant. Ils pleurent quand un arbre est inutilement coupé, ils ont le sens des réalités et ils sont porteurs de solutions d’un point de vue économique.
Greta est une lanceuse d’alerte. Maladroite peut-être, inexpérimentée probablement. Mais elle nous révèle à la partie de nous parfois trop candide parfois manipulée par notre propre aveuglement.
Quand le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt. Plutôt que de s’écharper sur l’expression de cette jeune insoumise, pourquoi ne pas laisser notre coeur vibrer à la beauté du monde et à la blessure que nous lui infligeons, par notre propre sentiment de séparation ? Car celui qui est coupé de lui-même l’est obligatoirement de son environnement.
La réconciliation de l’homme avec son environnement ne passera que par une réconciliation de l’homme avec sa trinité. C’est ce que nous apprend, surement malgré elle cette image de l’insoumission.
https://www.lapresse.ca/actualites/201909/27/01-5243163-greta-thunberg-linfluenceuse.php
Greta Thunberg est une influenceuse. Elle ne pousse pas les gens à avoir des lèvres plus grosses, des abdos plus saillants, des lunettes de soleil à la mode ou des baskets fluo. Elle ne déballe pas des cadeaux dans ses stories. Elle ne se prend pas en selfie en bikini.
Elle incite les gens à faire des gestes pour que le réchauffement climatique ne cause pas notre perte. C’est sa mission. Comment être contre ? Greta Thunberg est pour la vie. Pour ce qu’il y a de plus essentiel : vivre.
On lui reproche d’être alarmiste. Ben oui. Il le faut. On ne reproche pas à un réveille-matin de faire du bruit. C’est la seule façon de nous tirer de la nuit. Des tonnes de rapports scientifiques affirment que si on ne fait rien, la planète Terre ne sera plus habitable. Greta crie : « Faites quelque chose. » Vous voudriez qu’elle le dise moins fort. Ceux qui le disent moins fort, on ne les écoute pas.
Greta Thunberg est arrivée à l’ONU comme une star. Après avoir traversé l’océan en voilier. Tous les médias à ses pieds. Elle aurait pu surfer sur cette vague. Défiler avec tous les dirigeants du monde. Jouer à la petite princesse. Leur remettre son dessin d’enfant. Un beau rond bleu avec plein d’arbres verts dessus et un soleil jaune pas trop gros. Les puissants lui auraient dit : « Comme c’est beau. Oui, Greta, on t’a comprise. Oui, Greta, on va t’aider. On va faire un parc à ton nom. »
Elle serait devenue leur bonne conscience. Leur mascotte écolo. En échange, ils seraient devenus ses contacts influents. Elle aurait eu accès à eux en tout temps. Elle aurait eu le droit de frayer avec le gratin, comme Bono. C’est toujours pratique d’être l’amie des puissants. Ça garantit un bel avenir. Surtout à 16 ans.
Bref, Greta Thunberg aurait facilement pu être récupérée, cette semaine. Mais Greta ne mange pas de ce pain-là. Elle a semoncé les maîtres du monde. Elle leur a donné un char d’humus. Un bon coup de pied dans le cul. Un discours à la Yvan Ponton dans Lance et compte. Mes sacraments ! Vous pensez juste à l’argent. Grouillez-vous ! C’est une question de vie ou d’extinction. Elle était choquée verte. Conséquente avec toute sa démarche. Elle leur a dit en pleine face ce qu’elle leur disait quand ils lui tournaient le dos. Bravo.
Les puissants ne sont pas habitués de se faire parler comme ça. D’habitude, même leurs opposants mettent des gants. Question de ne pas nuire à leurs intérêts. À leur lobby. Donc les bigs n’ont pas aimé se faire brasser le pommier. Alors, ils ont traité Greta comme on traite une enfant impolie. Calme-toi ! Ils n’ont rien compris.
La seule façon de calmer Greta, c’est d’agir. Tant qu’ils vont laisser la température monter, Greta ne va pas se calmer.
Le passage de la jeune militante suédoise à l’ONU a dérangé. Les adultes sont encore tellement condescendants avec les ados. Pourtant, les ados ont autant le droit de s’exprimer que les grands. Beaucoup d’entre eux sont beaucoup plus brillants que bien des vieux cons. Les enfants ne sont pas des sous-humains. Ce sont des êtres à part entière. On les ignore trop souvent. Pour une fois qu’une ado parvient à capter notre attention, échangeons.
Parce qu’elle a 16 ans, on dit qu’elle est manipulée. Qu’il y a du monde derrière elle. Accusations faciles. Justin Trudeau, Donald Trump, Emmanuel Macron… Ils ont quel âge ? Et vous croyez qu’il n’y a personne derrière eux ? Si on leur faisait passer un détecteur de sincérité, je parierais sur Greta.
Ce n’est pas parce qu’on est jeune qu’on est manipulé. Ce n’est pas parce qu’on est jeune qu’on ne peut pas donner de leçons. Ce n’est pas parce qu’on est jeune qu’on doit se la fermer. Au contraire !
Pendant trop longtemps, on a dit de la nouvelle génération qu’elle manquait d’idéal, d’envergure, qu’elle était obnubilée par le matériel. Qu’elle ne voulait que du cash. Et voilà que la jeunesse se rallie autour d’une cause. Qu’elle bouge. Qu’elle marche. Qu’elle avance. Qu’elle nous met face à nos contradictions. Qu’elle fait ce que jeunesse doit faire. Changer le monde. On devrait en être terriblement content. C’est tellement encourageant.
Elle ne parviendra probablement pas à changer le monde. Pas plus que nous n’y sommes parvenus. Mais elle parviendra sûrement à changer du monde. À changer du monde par en dedans. À ouvrir quelques esprits. À rendre des gens plus conciliants. À rendre des gens plus responsables.
Quand je dis elle, je parle de la jeunesse. Pas juste de Greta. Greta ne peut rien faire toute seule. L’influence doit se concrétiser. Ça prend un mouvement. Et on l’a vu hier, la mobilisation est là.
On peut tenter de discréditer le mouvement. Dire qu’il y avait bien des gens dans la rue, hier, qui roulent en VUS aujourd’hui. Bien des gens qui avaient gaspillé du carton pour leurs pancartes. Bien des gens qui avaient trouvé comment rejoindre le parcours de la manifestation grâce à leur iPhone polluant. Ce n’est pas ça, l’important. Personne n’est parfait. L’important, c’est la prise de conscience. On sait qu’il faut faire le bien. Le fait-on toujours ? Non. Mais c’est ça, notre repère. Ce vers quoi on doit tendre. C’est la même chose pour l’environnement. Il faut d’abord que ça s’incruste en nous, en dedans, pour que ça finisse par paraître autour, dehors. Ce vert tendre.
Nous sommes tous des influenceurs. Les gestes que nous faisons ont tous une influence, sur la vie des uns et des autres. Tout est relié en ce bas monde. Le social, l’économique, l’environnemental, le culturel… Tout. En être conscient est bon, autant pour nous que pour les autres.
Il faut se faire attention.
C’est ça que dit Greta.
depuis quelques années je tente de demeurer neutre dans toutes les contradictions que la tornade journalistique nous livre de force, et des fois je réussis
j’observe, je me laisse pénétrer de temps en temps quand des enjeux majeurs me touche comme humain, les puissants de ce monde, la planète, les extra-terrestre, les mouvements de masse.et et et …..
à la fin j’investie dans mon chemin intérieur; au moins je le fais pour moi, en espérant que cela apporte autour de moi
toutes ces théories me laisse de + en + froid
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