♥♥♥ – 12/8/2020
l’amour au temps du Corona… déconfinement estival en circuit fermé…
traduction: l’amour est une flamme qui brûle tout ce qui n’est pas amour… l’amour impose la destruction de tout ce qui est faux et la réalisation de tout ce qui est vrai… – Adyashanti
que rajouter à ces quelques mots pleins de sagesse d’Adyashanti ?
tant a déjà été dit au sujet des promesses et des grands mystères de l’amour, alors que tant a déjà été chanté au sujet de ses peines…
l’amour, comme Dieu, sont objets de nombreuses spéculations… intangibles, inconnus, indéfinissables…
possiblement les deux plus grands mystères de ce monde, et au-delà…
mais peut-être que l’amour et Dieu sont tout simplement la même et unique présence ?
qui sait ? peut-être aussi simple que cela…
ne dit-on pas : God is love ?
deux mots passe-partout, deux mots symbolisant le mystère, l’absolu, le but ultime de la vie pour nous humains incarné(e)s en corps… et encore…
pas tant à posséder car ni un ni l’autre ne se possède, mais à devenir… à se dissoudre en…
certains courent après l’argent, le pouvoir, le prestige, d’autres après l’amour… ou Dieu…
mais que l’on veuille du cash ou du divin, ce que l’on désire probablement au fond de soi est soit la liberté, soit la connexion avec le reste du monde, avec l’univers…
et possiblement que les deux se réalisent par l’amour…
alors imaginez l’amour de Dieu…
ces deux mots, amour et Dieu, même si on ne sait avec trop d’exactitude ce qu’ils représentent, peuvent faire peur… car ils impliquent une dilution de soi, une disparition de ce qui est dur et solide en soi… deux concepts qui font fondre ce qui entrave le chemin fluide de la vie…
Osho disait souvent que l’amour n’est pas une relation mais une disposition intérieure… j’imagine que Dieu aussi… peu importe comment on le conçoit, comment on est en relation avec lui, elle, ça, tout finalement… car tout est Dieu et Dieu est tout…
mais pas pour les athé(e)s…
comme le terme désamour…
l’autre jour je suis tombé sur ce terme et me suis demandé ce que pouvait être le désamour… comme si l’amour pouvait apparaître, puis disparaître…
je cherche encore mais il me semble impossible de désaimer si nous sommes amour…
comme Dieu… soit tout est Dieu ou rien ne l’est… ou Dieu est tout ou rien ne l’est…
cela sans parler de la mère de Dieu, concept que jaime beaucoup imaginer dans ma ptite tête de pinotte… et sa mère à elle, la grand-mère de Dieu ? and on and on… car une grande grande famille nous sommes… une famille sans début, ni fin…
une never beginning nor ending story… an on and on going story becoming history…
ah si mystérieux la vie… amour et Dieu alors ? let see… et surtout let live…
allez bonne journée pleine d’amour…
et de Dieu si ce terme ne vous offusque pas… de toute façon, personne n’en sait trop à son propos…
alors cherchons encore où il/elle/ça se cache…
sans oublier sa mère…
et la suite de la grande suite royale… grosse main qu’on nous distribuée en ce grand jeu sans carte routière pour lequel parait qu’on aurait cacher les 2 jokers dans notre coeur…
Héhéhé, ma mère qui prie la bonne Sainte-Anne
car elle a peur qu’elle chôme étant peut-être oubliée.
Et moi qui découvre que Padrinho Zé Ricardo
aura enregistré et « Illumina » et « Celestial Heart »
et elles ont donc abouties sur mon iPod.
Yé!
C’est bon pour l’enthousiasme.
(quel bô mot: être plein de dieu, transport divin…)
M’enfin il y a de ces synchronicités
que je ne saurais dire,
sinon chanter.
il doit y avoir de l’amour dans l’air sur la planète terre actuellement, car ça brûle
ça sort de toutes sortes de façon, violence verbale, physique, visuelle….
comme si la vie tente d’expulser quelque chose
et au lieu de laisser brûler intérieurement pour ouvrir à plus grand
«le mental» projète sur les autres cet impossible
olala pas facile la naissance de l’humanité