
♥♥♥ – 9/3/21
les chroniques d’un nôbodé…
traduction: parfois le fun of the pun is lost in translation 😉
ah les mots, ils peuvent tout dire… et rien en même temps… ou tant de choses différentes selon l’interprétation qu’on en fait… je ne dis pas comment ils sont compris car pas certain si rien n’est jamais vraiment compris… qu’interprétés les mots… par des organes mentaux – de préférence plus sains que malades mais ça c’est une autre histoire car en chacun de nous sommeillent un flasher bi-polaire (celle-ci demeurera probablement incomprise de plusieurs mais c’est la vie des jokes anonymes, ah ah !)…
parfois les mots sont des armes de désalphabÊtisation massive (accent cirCONflexe important), et d’autre fois les mots sont drôles…
drôle ? drôle justement car ce matin, ça tombe bien, envie de jouer le chroniqueur… jouer avec les mots, jouer avec vous…
personnellement, je respecte les gens qui défendent une langue en particulier, qu’elle soit vivante, morte ou même dans le vinaigre, mais pas mon bag ni ma cup of tea… je parle ici de la langue de Molaire car celle en glaise est assez big merci… et de bois ou de force…
pas attaché à une langue en particulier, d’ailleurs la raison pour laquelle je veux apprendre le latin, la mère des langues à moitié mortes, pourtant encore si vivante… langue zombie par excellence s’il en est une…
ainsi, je ne suis pas attaché au genre langagier… je suis un dégenré linguistique… ni français ni english… ni en french nor en anglais… qu’un humble et naïf joueur avec les mots…
pour moi, les mots ne sont que des outils, des matériaux neutres en évolution par définition, et non une identité fixe à sauvegarder pour laquelle on doit se battre à coup de gros mots… la raison pour laquelle je franchglishe – à outrance selon mon âmi du plat Ôh – et frenchglise à tour de langue…
pour moi, les mots sont des serviteurs, non des maîtres… mais je n’en dirai pas un traître mot de plus… ni français ni english… ni en french nor en anglais
en fait, en termes langagiers, je suis poly conjugeux et dégenré, jusqu’à en perdre le peu latin qui me reste dans la bouche de mes vies passées en latinerie… bon latin et good morning… et bonjour high and low…
d’où ma joke en anglais ci-haut – si bonne à mon avis – de même qu’un nouveau concept francophile pour moi, les apophtegmes…
vous connaissez ? moi non plus avant hier… mais attendez ne partez pas, car c’est vraiment cool tout le tour de la bouche, jusqu’au bout de la tête…

et comme nous ne sommes jamais mieux servis que par des exemples en voici quelques-uns…

faudrait demander à Don qui chuchotte…

seulement s’il est con, et sacré par l’église…
la prochaine, me la suis déjà artificiellement posée récemment avec le peu d’intelligence naturelle qu’il me reste lorsque questionné sans réponse par le robot en question me questionnant…

la langage ça peut être du sport extrême… ment glissant…

la prochaine ? à essayer de mourir de rire…

vous connaissez la joke du chauffeur de bus ? moi non plus j’étais assis en arrière… mais pas cette fois car raté le car 😉

et pour terminer, un koan dur dur à résoudre 😉

comme vous voyez, les mots sont drôles…
ni français ni english… ni en french nor en anglais…
Drôle de langue tout de même. Il y a celle-ci qui ressemble: Si Beiring est un détroit, qui sont les deux autres?
tu lis entre les ling à ling 😉 les Red Wings de Beiring ?
Subtile cette langue.
Un peu de looser pour se dilater la rate !